• Comme on le sait tous, le tabagisme est l’une des habitudes les plus nocives et les plus mauvaises que l’on peut avoir.

    Ceci est parce qu’il affecte chaque cellule de votre corps, et affecte les fonctions vitales de l’organisme.

    Le tabagisme est particulièrement agressif pour vos poumons et est la cause primordiale du développement du cancer.

    En outre plusieurs complications de santé (respiratoires) sont liées à ce dernier comme la bronchite et l’asthme.

    Recette naturelle pour nettoyer vos poumons

     


    Ingrédients:

    2 cuillères à café de curcuma
    1 racine de gingembre (un petit morceau)
    1 litre d’eau
    400 grammes d’ail, pelé et coupé en petits morceaux
    400 grammes de sucre roux

    Préparation:

    Tout d’abord, vous avez donc besoin de chauffer l’eau dans une casserole de taille moyenne. Ensuite, ajoutez le sucre. Une fois que l’eau commence à bouillir, ajoutez le restant des ingrédients. Laissez mijoter pendant 5 minutes, puis retirez du feu et laissez refroidir. Gardez le mélange au réfrigérateur.

    La consommation :

    Vous devez en prendre 2 cuillères à soupe le matin à jeun et le soir après le dîner.

    Nous espérons vraiment que cela vous sera efficace. Partagez-le avec votre famille et vos amis.

    Les experts de la santé ont recommandé que vous devriez consommer cette boisson faite maison afin de réduire les effets secondaires du tabagisme. Cette boisson maison pour nettoyer les poumons est surtout bénéfique pour ceux qui fument pendant plus de 5 ans.

    Source:→ LIEN

     


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  • Un simple oignon est un remède naturel pour de nombreux problèmes de santé. C’est le meilleur remède pour les vomissements sévères et un excellent antibiotique naturel qui peut stimuler votre système immunitaire.

    L’oignon fait partie de la famille des Allium. Son abondance en soufre lui procure des propriétés antibiotiques et antiseptiques. Il est également très riche en Quercétine, un antioxydant qui aide l’organisme à combattre les radicaux libres.

    10pt;">L’oignon, nos ancêtres savaient ;

    L'oignon cette plante potagère qui guerit

     Si tu te trouves sans chapon, sois content de pain et d’oignon . 
    (Proverbe du Moyen Âge)

    Les bienfaits de l’oignon : Avec du jus d’oignon, la respiration s’améliore rapidement. L’oignon est également bon pour le cœur, l’arthrite, est un excellent antioxydant et excellent régulateur de diabète, de par ses composés flavonoïdes et soufrés, et régule également votre taux de cholestérol.

     

    Pendant des milliers d’années, l’oignon a été utilisé comme traitement standard.

    Voici comment régler certains problèmes de santé grâce à l’oignon

    Congestion thoracique : Écrasez un oignon dans de l’huile de coco. Appliquez sur le thorax, fixez avec une petite serviette pour réchauffer et couvrez-vous bien.

    Colique : Ce remède a été utilisé par les Indiens Cherokee pour soigner les enfants souffrant de colique : Découpez quelques oignons jaunes en dés et faites-les bouillir dans l’eau. Laissez refroidir puis égouttez. Vous devez en donner une cuillère à soupe à votre bébé toutes les heures jusqu’à ce que vous remarquiez qu’il est soulagé.

    Infections et douleurs à l’oreille : Hachez un oignon et mettez-le dans une chaussette puis nouez-là. Placez la chaussette fermée sur l’oreille concernée. Laissez ainsi en fixant avec un bandage ou un chapeau, et n’enlevez que lorsque la douleur soit complètement disparue.

    Coupures cutanées : La fine couche transparente séparant les différentes écailles charnues de l’oignon possède des propriétés antiseptiques. Appliquez-la sur la peau en cas de coupures pour arrêter les saignements.

    Toux : Épluchez un gros oignon et coupez-le en deux. Couvrez chaque surface avec 1 cuillère à soupe de sucre brun et laissez ainsi pendant une heure. Vous devez en consommez une moitié deux fois par jour pour apaiser la toux.

    Fièvre : Coupez un oignon en tranches fines. Massez-vous les plantes des pieds avec de l’huile de coco puis mettez quelques tranches d’oignons sur les arches des pieds, fixez avec des chaussettes et laissez agir pendant la nuit.

    Vomissements : D’abord, préparez une tasse de thé à la menthe poivrée et laissez refroidir. Entre temps, râpez 1 oignon blanc ou jaune, puis mettez dans une compresse de gaze et pressez bien pour avoir du jus d’oignon. Prenez 2 cuillères à café, attendez 5 minutes, puis reprenez-en 2 autres de menthe poivrée. Répétez plusieurs fois jusqu’à ce que les symptômes disparaissent.
    Les vomissements devraient cesser immédiatement et les nausées au bout de 15 minutes.

    Purification de l’air : Mettez des tranches d’oignon dans de petites assiettes et placez-les dans différents endroits de la maison, ceci purifiera l’air des virus et bactéries.

    Autres utilisations de l’oignon :

    Frottez-vous avec un oignon coupé pour vous protéger des insectes.

    Le jus d’oignon appliqué sur le cuir chevelu favorise la poussée des cheveux.

    Le jus d’oignon repousse les mites.

    Frotter une tranche d’oignon sur du fer empêche la rouille.

    Le jus d’oignon bouilli et refroidi pulvérisé sur les plantes repousse les insectes ravageurs.

    Frottez une tranche d’oignon sur les objets en cuivre et en verre pour les faire briller.

    Vous frottez avec une tranche d’oignon prévient l’apparition des tâches de rousseurs. 

    Source :http://www.elishean-aufeminin.com

    Christophe BERNARD

     


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  • Ces plantes qui nous font tant de bien (2e partie)

     

    En plus de quarante années de pratique médicale, j’ai eu le temps de mesurer leurs effets et de les apprécier : je parle des « teintures mères » de plantes que je préconisais en complément d’autres traitements nutritionnels ou homéopathiques.

     

    La « teinture mère » (TM) est une forme particulière de phytothérapie qui a ses avantages et ses inconvénients mais qui ne représente pas toute la phytothérapie.

     

    D’ailleurs je ne me prétends pas « phytothérapeute ». La phytothérapie est un monde en soi, et d’autres le connaissent bien mieux que moi. Cette discipline, outre les « teintures mères », utilise bien d’autres formes : infusions, décoctions, hydrolats, gélules de plantes sèches ou d’extraits standardisés…

     

    Ma seule ambition est de vous transmettre mon expérience à propos de quelques plantes qui ont rendu à mes patients de grands services et que je connais bien.

     

    Pourquoi les « teintures mères » ?

     

    Parce qu’il y a encore peu, les teintures mères (TM) étaient facilement accessibles en pharmacie car fabriquées et distribuées par les grands laboratoires homéopathiques.

     

    De législations en législations, beaucoup ont disparu et ne sont plus délivrées qu’en dilution homéopathique par ces laboratoires. On les trouve cependant sur certains sites Internet ou sous forme de gélules en compléments alimentaires mais les prix ont souvent augmenté.

     

    Pour chaque plante dont je vous parlerai, je vous indiquerai le moyen le plus simple de vous la procurer. Sur les « teintures mères » distribuées en pharmacie, le degré en alcool est de 55% et la quantité d’alcool dépendra donc du volume de la prise. Vingt à trente gouttes de TM correspondent environ à un volume de 1 millilitre, que je n’aime d’ailleurs pas dépasser en administration quotidienne.

     

    Ce qu’il y a dans ces flacons

     

    C’est une macération hydro-alcoolique : la plante doit macérer pendant trois semaines dans de l’alcool de grain pur entre 60° et 95°. Ce mélange est régulièrement remué à l’abri de la lumière afin que le liquide se charge des principes actifs de la plante utilisée. Il est ensuite filtré, pour ne garder que la solution liquide. Il y a également « des teintures mères » à base de plantes sèches, mais dans ce cas les principes actifs seront moins concentrés.

     

    Cette forme d’extraction, parfaitement codifiée, contient une très faible dose résiduelle d’alcool : 0,1 gramme d’éthanol pour 10 gouttes de TM qui est cependant suffisante pour la contre-indiquer pendant la grossesse, l’allaitement, chez les jeunes enfants, chez les personnes sensibles ou désintoxiquées à l’alcool.

     

    Volontairement et pour ne pas alourdir ce texte je ne citerai que les indications et contre-indications que j’ai rencontrées en vous précisant, pour chaque plante, le moyen de vous la procurer facilement et les posologies. Je conseille souvent de les diluer dans un litre d’eau (ou plus en cas de forte chaleur) à boire dans la journée ; on peut bien entendu les mélanger.

     

    Je précise que la plupart des formes dites « bourgeons », diluées en macérâts glycérinés, sont distribuées en pharmacie en dilution dite « 1DH » mais que l’on trouve sous forme plus concentrée dans des laboratoires accessibles par le net ou par courrier comme par exemple « La Royale » [1]. La plupart des bourgeons ou leurs mélanges exigent des posologies de 60 à 150 gouttes par jour diluées dans un litre à l’exception de certains comme le cassis (Ribes Nigrum) qui pourra être conseillé à des doses de plus du double.

     

    Certaines TM sont disponibles en pharmacie d’autres, plus difficiles à trouver, sur certains sites Internet que je préciserai.

     

    Le marronnier d’Inde (Aesculus Hippocastanamum) : pour la circulation veineuse

     

    Le marronnier d’Inde est bien connu pour ses indications de tonique veineux, lourdeur des jambes, tendance aux varices et varicosités, aux ulcères… et de calmant hémorroïdal. En phytothérapie, il est plutôt utilisé sous la forme de bourgeons en 1 DH. On le trouve également dans de nombreuses crèmes et pommades anti-hémorroïdaires et des formules dites « composées » (en pharmacie) associé à d’autres souches comme « hamamélis », « Hydrastis », « Viburnum Prunifolium ». En bourgeons, la posologie est d’une centaine de gouttes par jour.

     

    La bardane (Arctium Lappa) : pour la peau

     

    La bardane commune, pourtant très répandue dans nos campagnes, est de plus en plus difficile à trouver sous forme de teinture. Le site « Ma boutique au naturel » [2] propose un extrait fluide du laboratoire Ponroy facile à utiliser.

     

    La bardane est pourtant un bon remède (parfois complémentaire) des affections et infections cutanées quand elles sont purulentes : dermatoses suintantes, acnés, furoncles.

     

    Elle peut être utilisée localement et on conseille dix à vingt gouttes par jour.

     

    L’arnica (Arnica Montana) : pour les chocs physiques et psychiques

     

    L’arnica est un remède universellement connu qui, appliqué très vite après un choc ou une contusion, accélère la guérison de l’hématome. On le trouve partout, en pharmacie, en teintures, en crèmes, en huiles et même en dilutions homéopathiques. C’est un remède « du choc » et certains prétendent qu’en très haute dilution homéopathique il deviendrait un remède traitant les conséquences de chocs très anciens ou de chocs psychiques.

     

    L’avoine (Avena Sativa) : contre la fatigue et les insomnies

     

    La teinture d’Avena Sativa (avoine) peut améliorer l’endormissement de ceux qui souffrent d’agitations de membres inférieurs.

     

    On se la procure facilement sur un site que j’utilise beaucoup, qui propose des TM « bio » en flacons de 60 ml. Il livre en général en 48 heures ouvrées www.pierredastier.com, mais on peut aussi passer commande par téléphone (04 71 59 73 07). Les produits sont libres d’accès. J’indiquerai désormais cette source par le sigle : (Pda).

     

    On trouve également de l’avoine dans un complément alimentaire que je conseille souvent chez les personnes fatiguées avec un complexe contenant, entre autres, de la tyrosine.

     

    En journée, la teinture d’avoine est un tonique qui aide à lutter contre la fatigue. La légende rapporte que les palefreniers de Louis XIV en ajoutaient dans la ration des chevaux avant la course. On dit également qu’elle agit comme un antidote chez les consommateurs de drogues dures et chez ceux qui souffrent d’alcoolisme.

     

    Pour le sommeil, je conseille une quarantaine de gouttes, avec d’autres dont je reparlerai comme la valériane, le houblon, ou l’eschscholtzia dans une infusion de mélisse ou fleur d’oranger, ou 60 à 80 gouttes de mélange. Pour « la forme », prenez avant chaque repas une vingtaine de gouttes de teinture.

     

    La berbérine (Berberis Vulgaris) : en complément de vos traitements antidiabétiques ?

     

    La racine de berbérine, ou épine vinette, est un grand classique du drainage chez les rhumatisants ainsi que pour contribuer à soigner les lithiases urinaires et soulager les douleurs mais, dans ce cas, il est plutôt employé en basses dilutions homéopathiques (3DH).

     

    La médecine ayurvédique l’a popularisée pour son activité de stimulation de la sécrétion d’insuline et donc son activité antidiabétique. La berbérine est distribuée avec cette indication sur Internet et c’est ainsi que je la préconise aujourd’hui pour remplacer ou compléter certains antidiabétiques qui ne sont pas toujours facilement supportés Je conseille 1 000 milligrammes d’extrait matin et soir, mais attention, l’action ne se fait sentir qu’après une prise régulière de quelques mois associée à une prise d’au moins 500 milligrammes matin et soir d’extrait standardisé de cannelle, sans oublier le chrome et le zinc.

     

    La boldo (Boldo) : pour mieux digérer

     

    La boldo, qui est devenue célèbre à cause de la tisane Boldoflorine, est un stimulant général de la digestion gastrique et hépatique. En basse dilution (3DH) beaucoup d’homéopathes l’associent, dans cette indication, à Taraxacum (le pissenlit), Chelidonium (la chelidoine), Cynara (l’artichaut). On la trouve chez « Pda » et dans un complexe draineur digestif et « détox », associée au pissenlit, l’artichaut, la bardane (drainage de la peau, voir ci-dessus), le brocoli, le chardon-marie, le radis noir et le Desmodium, en extrait standardisé dosé à 70 milligrammes par gélules : le VITAL DETOX  que j’utilise après des traitements lourds comme les chimiothérapies ou pour accompagner un jeûne.

     

    Le souci des jardins (Calendula) : pour désinfecter

     

    La teinture-mère de calendula ou souci des jardins est un désinfectant universel que l’on trouve tant en pharmacie que sur le site « Pda ». Contrairement à l’arnica dont il partage les propriétés, on peut l’appliquer sur une plaie ou dans la bouche. Il accélère la cicatrisation, diminue les suites de contusion, l’inflammation, les douleurs, les suppurations, les ulcérations. Je le conseille en cas de plaie buccale ou à la suite de piqûres d’insectes. On le trouve dans de multiples pommades, crèmes ou huiles pour la peau. Pour les inflammations digestives, on dilue une cuillère à café de TM avec 3 cuillères à café d’eau. En usage externe on peut l’appliquer pure avec une trentaine de gouttes d’argent colloïdal dans toutes les infections et suppurations.

     

    Le chardon-marie (Carduus Marianus) : pour détoxiquer votre foi

     

    Le chardon-marie reste l’un des plus grands détoxiquants hépatiques avec le Desmodium. On le trouve en pharmacie, chez « Pda » et en extrait standardisé (silymarine) en complément alimentaire comme le célèbre « silyvital ». Quelle que soit l’origine du problème hépatique, qu’il s’agisse d’une infection virale, d’une intoxication médicamenteuse ou alimentaire, il redonne de l’énergie, diminue les céphalées frontales ou au-dessus des yeux, aide à retrouver une langue propre et à perdre la sensation d’amertume dans la bouche. Il contribue (avec les traitements spécifiques) à diminuer l’ictère cutané, à clarifier les urines, à diminuer les douleurs hépatiques et vésiculaires et l’acidité digestive. Je conseille une quinzaine de gouttes dans un peu d’eau tiède avant les repas ou un comprimé de « silyvital » deux à trois fois par jour en accompagnement des traitements à forte toxicité hépatique. Associé au curcuma [3], seul [4] ou combiné à des traitements spécifiques, voire de la radiothérapie, il permettrait de ralentir la croissance de certains cancers et d’améliorer l’effet des traitements tout en contribuant à protéger l’organisme.

     

    La chélidoine (Chelidonium Majus) : pour la digestion et contre les verrues

     

    La grande chélidoine ou « herbe à verrue » contient trois alcaloïdes, tous efficaces dans le cas d’inflammation hépatique. On a de plus en plus de mal à la trouver tant sur Internet qu’en pharmacie où elle n’est disponible qu’à partir de la 4CH.

     

    On l’utilise en usage externe pour éliminer les verrues : quelques gouttes du suc contenu dans la tige fraîche et déposées localement permettent de venir à bout de ces infections cutanées. À défaut de plante fraîche dans votre jardin, la teinture-mère donne les mêmes résultats.

     

    Je ne la trouve que sur Internet, sous forme bio et en flacons de 50 ml, chez l’herboristerie de Louis qui propose de l’associer pour le traitement des verrues à l’huile essentielle de tea tree et de sarriette des montagnes.

     

    L’aubépine (Crataegus Oxyacantha) : contre les palpitations

     

    L’aubépine est un grand stabilisateur du rythme cardiaque et calme bon nombre de palpitations sans gravité (à faire vérifier par un électrocardiogramme). On la trouve en gélules de plante fraîche et associée au magnésium ou à des plantes sédatives comme la mélisse ou l’eschscholtzia (voir plus loin) dans de nombreuses spécialités pharmaceutiques. Elle est en elle-même un calmant léger du système sympathique, légèrement anxiolytique et ne provoque pas d’accoutumance. Elle peut contribuer à la résolution des douleurs d’origine cardiaque, renforcer la contraction du cœur, rehausser une tension artérielle trop basse et diminuer les symptômes d’insuffisance cardiaque (œdèmes). Personnellement je préfère la conseiller en gemmothérapie (bourgeons) à la dilution de 1 DH. Une centaine de gouttes par jour en trois prises ou diluées dans un litre d’eau a une action réellement régulatrice et apaisante sur la symptomatologie cardiaque.

     

    La damiana (Turnera Aphrodisiaca) : pour la libido et contre le stress

     

    La damiana ou Turnera Aphrodisiaca est un tonique sexuel chez l’homme comme chez la femme, où elle aide à retrouver un multi-équilibre hormonal. On peut l’associer dans cette indication à la maca ou au Tribulus Terrestris que l’on trouve dans de nombreux compléments alimentaires. Elle est adaptogène [5] et augmente notre résistance au stress, comme la Rhodiola ou l’Ashwagandha. On la trouve sur le site « Pda » et je conseille une quinzaine de gouttes matin et soir car elle ne perturbe pas le sommeil et n’a pas de contre-indications.

     

    L’échinacée (Echinacea Angustifolia) : contre les infections

     

    L’échinacée est considérée comme l’un des anti-infectieux majeurs de la pharmacopée, capable de faire baisser la fièvre. Son action n’est ni directe ni immédiate contre les bactéries. Elle s’opère grâce à une stimulation des cellules immunitaires spécialisées comme les leucocytes. Elle contribuerait, selon « Passeport Santé » à prévenir le rhume et les infections respiratoires qui peuvent lui succéder. On la trouve en TM en pharmacie, sur le site « Pda » et dans de nombreux compléments alimentaires comme dans le Propoplant où elle est associée aux huiles essentielles d’eucalyptus, de thym, de thuya ainsi qu’à l’ispaghul et à la propolis, très utile contre les infections respiratoires hautes. Dans le Sinuvital elle est associée au thym et à nombre d’autres plantes qui permettent, en quelques jours, de réduire les symptômes et surtout les douleurs et œdèmes de la sinusite. En TM je conseille régulièrement toutes les 3 heures une dizaine de gouttes dans de l’eau avec magnésium, zinc et vitamine C en poudre et je demande de l’appliquer localement, diluée, sur le front : une cuillère à soupe pour un bol d’eau chaude avec quelques huiles essentielles de thym et d’eucalyptus.

     

    La prêle des champs (Equisetum Arvense) : pour retrouver votre énergie

     

    La prêle des champs ou « silice végétale » est probablement la forme de silice la mieux assimilable, donc fortement reminéralisante. Je la conseille dans les états de fatigue, après une maladie infectieuse et dans tous les états de déminéralisation, en traitement d’appoint (avec la vitamine D et la vitamine K2) dans l’ostéoporose et la recalcification des fractures. Rudolf Steiner [6] disait que la silice reconnecte l’humain avec la lumière et l’énergie. Il en faisait un élément essentiel, non seulement pour la santé humaine mais pour l’agriculture biodynamique [7] : on comprend alors son action défatigante et stimulante du système immunitaire. On trouve la teinture mère en pharmacie et chez « Pda ».

     

    Je conseille souvent 20 à 30 gouttes, trois fois par jour de teinture mère mais ces doses peuvent être augmentées en cas de grande fatigue ou de déminéralisations à la suite d’hémorragies ou de maladies infectieuses.

     

    Le pavot de Californie (Eschscholtzia Californica) : pour mieux dormir

     

    Le pavot de Californie est un grand classique dans le traitement des troubles du sommeil. Pendant longtemps, on le trouvait facilement en teinture mère et il n’était pas rare de l’associer à la valériane, la passiflore, la mélisse ou le houblon. Je conseillais alors deux prises de ce mélange de TM, l’une à prendre après le dîner l’autre au coucher avec un comprimé de bisglycinate de magnésium et pour certains de la mélatonine, soit sous forme immédiate (1 milligramme) lorsque l’on a affaire à des troubles de l’endormissement, soit sous forme retard (3 milligrammes) lorsque le sommeil est de mauvaise qualité. Lorsqu’un léger trouble dépressif est sous-jacent il est bien d’associer une ou deux ampoules (d’1 milligramme) de granions de lithium.

     

    Cette plante sédative et anxiolytique qui peut aider à se sevrer des somnifères (benzodiazépines) n’est malheureusement plus disponible qu’en compléments alimentaires, soit sous forme de gélules, soit sous forme de comprimés.

     

    Chère amie, cher ami, je compléterai cette liste dans une prochaine lettre. Surveillez donc bien votre boîte et n’hésitez pas à avoir recours à ces teintures mères qui peuvent vous aider dans de nombreuses situation

    Dr. Dominique Rueff

     

    Pour en savoir plus : LIEN

    https://www.santenatureinnovation.com/ces-plantes-que-jaime-et-qui-font-tant-de-bien-1re-partie/#comments#moz


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