• “Vous, les Européens, vous me faites bien rire…

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    Secrets de Nutrition

    Je parlais des douleurs articulaires au Dr Makoto S., l’expert japonais de la longévité.

    Il me dit avec un fort accent japonais :

    “Vous, les Européens, vous me faites bien rire… Vous décortiquez les crevettes. Vous enlevez les arêtes des poissons. Vous êtes dégoûtés par les oreilles de porc. Vous ne mangez plus que la viande pure, le muscle.”

    “Et vous vous étonnez que votre squelette et vos articulations deviennent du chewing gum !”

    “Qu’est-ce que vous croyez ?”

    “Les articulations sont faites de cartilages, de tendons, de ligaments, d’os… si vous ne mangez plus la couenne ni la gélatine ni rien qui vous “dégoûte”, ne vous étonnez pas de vos problèmes !!”

    Et en effet, au Japon, il se passe des choses qui écœurent profondément les Européens.

    La population continue à dévorer, en 2020 :

    • des tortues à carapaces molles (entières),

    • des oeufs fécondés avec le poussin à l’intérieur,

    • des brochettes de cartilage de poulet,

    • des oreilles de cochon,

    • des poches à sperme de poisson (servies crues).

    Les personnes âgées, en particulier, en raffolent.

    Les Européens s’émerveillent que des centenaires soient encore capables de pratiquer le karaté, le Qi-gong, ils aimeraient leur ressembler…

    Mais nous voudrions les bienfaits sans rien changer à notre alimentation.

    Si les Japonais y arrivent…
    pourquoi pas moi ?
    et pourquoi pas vous ?

    Les paroles de Makoto S. sont le bon sens même.

    Les personnes qui ont des problèmes articulaires et qui n’agissent pas sont certaines que cela ne va pas aller en s’améliorant.

    Le risque est que les articulations se raidissent, jusqu’à ce que les os fusionnent ensemble :

    Tout à droite, les os vont même jusqu’à fusionner — c’est comme porter un plâtre en permanence !


    C’est ce qu’on appelle l’ankylose osseuse, qui peut bloquer les personnes de façon définitive.

    C’est pour y échapper, et aider toutes les personnes qui, comme moi, souhaitent y échapper que j’ai entrepris un Tour du Monde des solutions naturelles pour soulager les articulations.

    Le but est de préserver notre capacité physique pour réaliser nos projets d’avenir. Pour moi, je souhaite encore faire le Chemin de Compostelle, longer le Danube à vélo, ou rénover la maison de mes parents.

    Et je compte bien y parvenir, malgré mes genoux qui, aujourd’hui, me font encore souffrir.

    J’imagine que vous aussi, vous avez vos projets.

    Ou que vous aimeriez franchir sans peine les obstacles du quotidien :

    Que ce soit être capable d’accourir auprès d’un enfant qui s’est fait mal, transporter l’arrosoir d’eau fraîche pour abreuver vos fleurs assoiffées, se laisser inviter à danser, comme au bon vieux temps, sans crainte de perdre l’équilibre, ni de se faire mal, ouvrir le fameux pot de confiture de fraises du jardin offert par votre cousine, etc.

    Aujourd'hui, j'ai achevé mon tour du monde des solutions pour soulager les articulations. Et j’ai la certitude d’avoir trouvé la stratégie ultime qui allie les meilleures substances actives de chaque continent.

    Je suis très fier de pouvoir vous présenter cette formule aujourd’hui. Elle s’appelle Nankotsu, car c’est au Japon que j’ai trouvé les solutions qui m’ont paru les plus convaincantes.

    Les ingrédients dans Nankotsu ont été sélectionnés pour agir et pour soulager vos articulations.

    Pour protéger votre capital articulaire.

    Pour vous redonner de la souplesse.

    Et pour vous rendre votre liberté.

    Mon expérience avec les problèmes articulaires

    Permettez-moi de me présenter, pour ceux qui ne m’ont pas déjà reconnu : je suis Rodolphe Bacquet.

    Je travaille dans le domaine de la santé naturelle depuis des années.

    J’ai dirigé (et je continue de diriger) de nombreux projets dans ce domaine :

    • Les Secrets de Santé des centenaires d’Okinawa, et Ikigaï : La Voie de la Longévité

    • Le Voyage exceptionnel à Okinawa avec un petit groupe de nos lecteurs les plus fidèles — nous sommes rentrés transformés !

    • La Méthode Uhl pour jeûner

    • Le Parcours Détox : 21 jours pour se purifier et renaître

    • Ma dernière conférence était sur les Zones Bleues (ces “oasis” où l’on vit plus longtemps qu’ailleurs) au Congrès International de Santé Naturelle de Marseille.

    Mais aussi le mensuel Alternatif Bien-Être, la première revue francophone de santé naturelle.

    Tout ce travail est une source de satisfaction et de fierté immenses.

    En revanche, là où je n’ai pas été favorisé par l’existence, c’est avec mes genoux…

    Je suis atteint d’arthrose au genou gauche suite à un accident de vélo, et au genou droit suite à une ablation du ménisque.

    J’ai essayé de nombreuses solutions : les semelles orthopédiques, la physiothérapie, la marche douce, les compléments alimentaires.

    Mais suite à mon Tour du Monde des solutions pour soulager les articulations, j’ai compris qu’il n’y avait pas une solution simple.

    Pour avoir un effet réel, il faut combiner tous les meilleurs produits naturels que l’on trouve sur les 5 continents :

    • le nutriment dans l’alimentation des Japonais qui explique leur souplesse à 85 ans ;

    • la racine d’Afrique australe qui permet aux tribus de courir des dizaines de kilomètres (comme dans le film Les dieux sont tombés sur la tête) ;

    • la résine des montagnes du Rajasthan utilisée par les populations locales pour réduire le gonflement articulaire et gagner en flexibilité ;

    • les molécules et les plantes les plus efficaces que l’on retrouve dans les compléments alimentaires d’Europe et d’Amérique.

    À ma connaissance, il n’existait jusqu’à présent aucune formulation qui les réunissait tous.

    J’ai donc décidé de solliciter les meilleurs experts en compléments alimentaires, que je connais grâce à mon travail de journaliste spécialisé. Je leur ai demandé de trouver les meilleurs producteurs, réaliser le bon dosage, la meilleure galénique, le flaconnage anti-UV et recyclable.

    Voici donc sa composition :

    On construit sa maison avec des briques, pas avec de la poussière

    Je vous ai parlé plus haut des habitudes alimentaires curieuses des Japonais. Selon les études scientifiques, le nutriment qu’ils absorbent en grande quantité, contrairement à nous, est le collagène non-dénaturé de type II (le cartilage est fait de fibres de collagène).

    Beaucoup connaissent déjà le collagène. Mais le collagène non-dénaturé de type II conserve sa structure en triple hélice, alors que le collagène basique est broyé (on dit hydrolysé).



    D. Bagchi et al., « Effects of Orally Administered Undenatured Type II Collagen against Arthritic Inflammatory Diseases: A Mechanistic Exploration », International Journal of Clinical Pharmacology Research 22, no 3-4 (2002): 101-10.

    Le collagène non-dénaturé est au collagène basique, ce que la brique est à la poussière.

    Le collagène non-dénaturé que j’ai choisi pour Nankotsu est un collagène de type II — celui qui manque dans nos articulations.

    Ce collagène non-dénaturé est une formule brevetée. Il est produit à basse température (et sans enzymes).

    Vous n’avez donc PAS à manger des brochettes de cartilage de poulet, ni d’autres “spécialités” japonaises. Car ce collagène non-dénaturé est beaucoup plus intéressant. Voici pourquoi :

    Les troubles articulaires apparaissent souvent lorsque notre système immunitaire devient fou et se met à détruire nos articulations — d’où l’expression “auto-immune”.

    Le collagène non-dénaturé est biologiquement actif car il conserve sa forme d’origine (en triple hélice).

    D’après les études [1] [2], une dose de 40 mg de collagène non-dénaturé est capable de « réinformer » le système immunitaire et moduler la réponse inflammatoire.

    L’objectif est que les chondrocytes (les “tueurs à gages” du système immunitaire) réapprennent à tolérer le cartilage de la zone inflammée.

    C’est pourquoi j’ai décidé d’en incorporer 40 mg dans ma formule Nankotsu.

    A cela j’ai ajouté la “racine de Windhoek”, une plante du désert du Kalahari (Afrique Australe), réputée pour son efficacité contre l’inconfort articulaire :

    Le trésor du Kalahari pour les articulations

    Les guérisseurs du peuple San, habitant le Kalahari utilisent depuis longtemps une racine qui a la réputation de soulager les troubles articulaires :

    C’est la racine de Windhoek.

    En 1907, alors que l’armée coloniale allemande noie dans le sang la révolte des Héréros et des Namas… un soldat allemand du nom de G. H. Mehnert, entre en contact avec un indigène initié qui lui montre les trésors de sa terre natale. Et notamment cette racine incroyable que l’on trouve en creusant la terre rouge de la savane semi-désertique du Kalahari.

    On lui montra comment récolter sans tuer la plante,
    pour qu’elle continue à prospérer et à produire.


    C’était une racine de Windhoek.

    Aujourd’hui, on sait que son efficacité tient à une substance apparentée aux iridoïdes, que la plante produit pour se défendre.

    Les chercheurs étaient impatients de tester l’efficacité de la racine de Windhoek. On dénombre beaucoup d’études concluantes :

    • Une étude menée sur 122 sujets à qui l’on a donné de l’extrait de racine de Windhoek — 57 mg pendant 4 mois[3].

    • Des chercheurs de l’université de Freiburg ont observé sur 227 sujets que 60 mg de racine de Windhoek par jour pendant 8 semaines permet de corriger l’inconfort chez presque 70% d’entre eux[4].

    • L’année suivante, une autre équipe allemande a montré que 60 mg de racine de Windhoek pendant 12 semaines permet de réduire de 25% la gravité des troubles articulaires (tel que mesurés par l’index WOMAC, le standard pour la recherche)[5].

    • En Ecosse, 259 sujets souffrants ont vu leur inconfort diminuer et leur mobilité progresser au bout de 8 semaines, grâce à la racine de Windhoek[6].

    C’est donc un vrai espoir pour les personnes souffrantes, et qui aimeraient retrouver une vie normale… bien huilée.

    C’est pourquoi j’ai fait mettre 63 mg d’extrait de racine de Windhoek dans la formule Nankotsu (une dose équivalente à celles des études citées plus haut).

    Sans doute la plus ancienne solution pour apaiser vos gênes

    L’ingrédient suivant de mon tour du Monde, c’est l’oli-banum.

    Le premier qui eut l’idée de récolter la sève de cet arbre mérite le Prix Nobel. Mais, c’était il y a si longtemps, que plus personne ne connaît son nom.

    Vous conviendrez qu’il est facile de déclarer que la Nature est pleine de ressources lorsque ce sont nos ancêtres qui se sont dévoués pour goûter des milliers de feuilles, de racines, d’écorces et de résines pour enfin tomber sur celle qui marche.

    D’autant que l’oli-banum est un arbre assez discret qui pousse sur les contreforts de l’Himalaya, au Rajasthan. Découvrir que sa sève est un tel trésor fut certainement une surprise.

    L’oli-banum fut très vite adopté par la pharmacopée ayurvédique et chinoise.

    Depuis, la recherche moderne a permis de comprendre pourquoi : son efficacité serait liée à une substance mystérieuse appelée akba.

    D’après les chercheurs [7], l’oli-banum agit en inhibant plusieurs enzymes qui dégradent le cartilage : la métalloprotéinase-3, la 5-lipoxygénase, catG, et mPGES-1. L’oli-banum agit aussi en réduisant la production de 3 messagers qui abîment vos tissus conjonctifs.

    Et c’est vrai que de nombreuses études confirment l’efficacité de l’oli-banum [8] :

    • Sur 30 sujets souffrants, l’oli-banum a permis de réduire leur inconfort et d’augmenter leur flexibilité[9].

    • Sur 70 sujets souffrants ayant reçu de l’oli-banum, certains ont signalé les premières améliorations dès le 7ème jour. Imaginez le soulagement des participants à cette étude[10].

    • Pour vérifier ces résultats, les chercheurs ont répété l’essai 3 ans plus tard. À leur surprise, les premiers bienfaits se sont fait ressentir dès le 5ème jour[11].

    J’ai donc demandé à ce que le dosage et l’origine de l’oli-banum dans Nankotsu soient alignés sur les études les plus concluantes, c’est-à-dire 150 mg d’extrait d’oli-banum AKBAMAX® qui provient d’Inde.

    Comment ces Japonais font-ils pour jouer au croquet jusqu’à 90 ans ?

    À deux heures de Tokyo, il existe un village qui étonne les scientifiques de l’OMS [12] — Yuzuri Hara. Il s’y déroule un concours de “qui vivra le plus longtemps en bonne santé”.

    Les doyens de Yuzuri Hara conservent une peau jeune (malgré le soleil). Et une agilité surprenante ! Cette forme incroyable leur permet de rester autonomes et de continuer à rendre service à leurs proches.

    Les anciens de Yuzuri Hara pensent que l’âge n’est pas une excuse. La tenancière de l’auberge du village, Mme Hishi, a 81 ans. Le médecin du village, Toyosuke Kimori aussi. Les séniors ici aiment jouer au croquet (en compétition) et jardiner à flanc de montagne.

    D’ailleurs, les scientifiques pensent que leur longévité serait liée à leur agriculture locale. Dans cette région montagneuse, la culture du riz nécessiterait un travail de terrassement colossal.

    C’est pourquoi, à Yuzuri Hara, la tradition veut que l’on cultive de la patate (plutôt que du riz). C’est donc assez exceptionnel pour le Japon. L’une des espèces de féculents cultivées s’appelle Satoimo [13]. De l’extérieur, elle ressemble à une mini-noix de coco. C’est l’aliment de base à Yuzuri Hara.

    Or, lorsque vous mangez cette patate, votre corps reçoit les nutriments (dont le magnésium) pour synthétiser une substance incroyable : le hyaluronane [14].

    Le hyaluronane est une substance hygroscopique [15] — ce qui signifie qu’elle absorbe les particules d’eau qui flottent dans l’air. Le hyaluronane forme des coussins d’eau qui lubrifient et absorbent les chocs. Ces coussins viennent se loger entre vos cellules et dans vos tissus conjonctifs. On retrouve le hyaluronane dans le liquide synovial et dans le cartilage (autour des chondrocytes pour être précis).

    Rien que de penser à ce petit miracle, ça me fait déjà du bien aux genoux.

    Le hyaluronane s’utilise en injections dans les genoux. Ça fait mal sur le moment. Mais les personnes ressentent les effets ensuite [16]. Cependant, il faut répéter l’opération régulièrement : prendre rendez-vous, se rendre chez le spécialiste, serrer les dents pendant la séance, puis régler le prix élevé de la séance.

    C’est efficace mais c’est pesant et coûteux sur le long terme.

    C’est pourquoi beaucoup se sont demandés si le hyaluronane en supplémentation par voie orale pouvait s’y substituer.

    Avaler une gélule, c’est facile, mais le défi est que la substance franchisse la barrière intestinale pour aller jusqu’au genou où elle est attendue.

    Bonne nouvelle, les études montrent que ça fonctionne : le hyaluronane est correctement absorbé dans l’intestin, puis amené jusqu’au liquide synovial [17] (le liquide synovial absorbe les chocs et lubrifie les articulations).

    Le liquide synovial accumule les nutriments qui nourriront le cartilage —
    c’est le seul moyen puisque le cartilage n’est pas vascularisé.

    D’ailleurs, le hyaluronane en supplémentation orale a fait l’objet de nombreuses études depuis 2008 [18]. Avec des effets constatés dès la 8ème semaine [19]. C’est d’autant plus intéressant que le hyaluronane par voie orale est facile à prendre sur le long terme.

    Dans une étude de 2015 menée sur 72 sujets (âgés de 19 à 71 ans), les chercheurs ont mesuré un élément qui a attiré mon attention : la qualité du sommeil. C’est un élément dont on parle peu. Mais si vous avez mal, vous savez que le moindre mouvement vous réveille. Et soudain, vos nuits deviennent des cauchemars, et les journées paraissent interminables. Les problèmes arrivent en chaîne…

    C’est pourquoi il m’a paru indispensable de mettre une dose conséquente de hyaluronane dans Nankotsu. J’ai choisi 60 mg, car cela correspond aux doses utilisées dans les fameuses études de Nagaoka [20] et de Kalman [21].

    Le hyaluronane est habituellement extrait de crêtes de coq, mais je n’étais pas à l’aise avec cette idée. Après quelques recherches, j’ai découvert qu’on pouvait obtenir du hyaluronane par fermentation de la bactérie Streptococcus zooepidemicus. Ce procédé de préparation m’a paru beaucoup plus adapté. C’est celui que j’ai choisi pour ma formulation Nankotsu.

    Comme vous pouvez le constater, j’ai mis toute mon énergie pour identifier les ingrédients les plus purs et créer Nankotsu, le complément articulaire le plus complet qui soit : collagène non-dénaturé, racine de Windhoek, oli-banum, hyaluronane…

    Vous pensez peut-être que j’ai oublié d’autres actifs réputés, comme la glucosamine et la chondroïtine.

    Mais justement, j’y viens.

    Dans Nankotsu, j’ai demandé à mettre TOUS les actifs essentiels

    Dans Nankotsu, j’ai insisté pour inclure également les actifs utilisés en Europe et en Amérique :

    • 1150 mg de glucosamine sulfate

    • 900 mg de chondroïtine sulfate

    Oui, je sais que certains remettent en cause leur efficacité. Alors oui, certaines études ont trouvé que la glucosamine et la chondroïtine étaient efficaces, d’autres non. Mais je ne suis pas là pour résoudre des débats scientifiques.

    La glucosamine et la chondroïtine sont produites par notre organisme en temps normal. Ce sont des composants majeurs du cartilage. La chondroïtine assure la rétention d’eau et maintient l’élasticité du cartilage. La glucosamine joue sur la viscosité du liquide synovial.

    Je sais ce que ça fait d’avoir mal aux genoux. Et s’il y a une chance non négligeable que la glucosamine et la chondroïtine puissent me soulager, je fonce.

    Sans compter qu’en mélangeant tous ces actifs, nous privilégions les effets synergiques.

    La glucosamine en question est produite à partir de la chitine que l’on extrait de la carapace de crabes et de crevettes. La chondroïtine, quant à elle, est obtenue à partir de cartilage de poissons sauvages. Les carapaces et le cartilage finissent généralement sur le bord de l’assiette, et c’est bien dommage quand on sait les trésors qu’ils renferment.

    Bien sûr, je vous encourage en parallèle à manger le cartilage des viandes, des poissons et la carapace des crevettes dès que vous en avez l’occasion. Mais pour vous garantir des apports réguliers en glucosamine et chondroïtine, j’ai prévu les doses optimales dans chaque gélule de Nankotsu.

    L’effet d’un Canadair sur votre inconfort

    La liste des ingrédients est déjà très complète : collagène non-dénaturé, racine de Windhoek, oli-banum, hyaluronane, glucosamine et chondroïtine. Mais en regardant les ressources que nous offre la planète… je me suis aperçu qu’un complément articulaire ne peut pas être complet, s’il n’incorpore pas les deux piliers du genre : le gingembre et le curcuma.

    C’est en discutant avec ma mère que j’ai réalisé à quel point le gingembre et le curcuma étaient indispensables. Elle m’a dit : “Ça peut paraître tout bête, ce qui me fait le plus de bien, c’est de prendre du gingembre.”

    Je me suis dit : “... mais oui, c’est tellement évident qu’on a tendance à les oublier.”

    Vu le nombre d’ingrédients déjà présents, croyez bien que j’ai dû insister pour ajouter encore du gingembre et du curcuma.

    On m’a dit : “Mais Rodolphe, vous ne vous rendez pas compte. Personne n’a jamais associé autant d’ingrédients dans une formule”.

    J’ai répondu : “Tout le monde sait qu’il n’y a pas de solution miracle. Pour mettre toutes les chances de son côté, il faut essayer plusieurs solutions à la fois. Si personne n’a jamais essayé de réunir les meilleures solutions de chaque continent en une gélule, il est urgent de le faire !”

    “Mais Rodolphe, ça va coûter une fortune”, m’a-t-on opposé.

    Ce à quoi j’ai répondu : “Si vous aviez les genoux boursouflés, des raideurs et des difficultés à bouger, vous sauriez que c’est comme une prison. Chaque jour, chaque heure, à chaque mouvement, vous rappelle votre infirmité. Vous n’imaginez pas la tristesse de ne pas pouvoir porter un enfant dans ses bras, de ne pas pouvoir rendre des services simples à ses proches, de perdre son autonomie. Soyons fous, même si on me demandait 15 euros par jour pour retrouver une vie normale, je n’hésiterais pas une seconde.”

    J’ai réussi à les convaincre de réaliser mon projet ambitieux. Il faut dire que je travaille avec de vrais professionnels. Ils sont prêts à déplacer des montagnes pour trouver les ingrédients les plus purs… rendre faisables des formulations jamais tentées…. et contourner les obstacles inévitables (par ex : faire les gélules les plus petites possibles).

    Et donc, Nankotsu contient aussi :

    • 500 mg d’extrait de gingembre de Chine

    • 350 mg d’extrait de curcumine boosté par la trigonelle

    La curcumine est en pleine révolution et on a découvert qu’en associant la curcumine à une épice égyptienne, on pouvait multiplier son absorption jusqu’à 269 fois !

    Cette épice égyptienne, c’est la trigonelle : déjà utilisée pour embaumer les pharaons, réputée pour ses effets sur le système immunitaire, la digestion, le taux de sucre et de lipides sanguin, ou encore la libido [24, 25].

    J’ai remplacé la curcumine actuelle par cette curcumine encapsulée dans de la trigonelle, ce qui la rend beaucoup plus absorbable et efficace.

    Si je récapitule, le complément articulaire Nankotsu contient :

    • 40 mg de collagène non-dénaturé (collagène UC-II®)

    • 63 mg d’extrait de racine de Windhoek

    • 150 mg d’extrait d’oli-banum (AKBAMAX®)

    • 60 mg de hyaluronane

    • 1150 mg de glucosamine sulfate

    • 900 mg de chondroïtine sulfate

    • 500 mg d’extrait de gingembre

    • 350 mg d’extrait de curcumine boosté par la trigonelle

    Vous constatez donc que nous sommes allés au fond des choses pour créer la formulation ultime — Nankotsu.

    “Je suis très fier de cette formulation”

    J’aimerais vous dire à quel point nous sommes fiers de cette nouvelle formulation.

    “C’est une des plus belles formulations que j’ai jamais faite”, me confiait Frédéric, le spécialiste qui a participé à la conception du complément articulaire Nankotsu. Or, Frédéric est dans ce métier depuis des années. Il en a vu passer...

    Pour vous dire que c’est ce qui se fait de mieux à l’heure actuelle.

    Comment ont été conçues les gélules Nankotsu

    Compte-tenu des précieux ingrédients qu’elles renferment, nous avons longtemps réfléchi à la “galénique” de Nankotsu — c’est-à-dire les caractéristiques de la gélule.

    Les gélules sont 100% végétales. Leur tunique est conçue à partir de cellulose de pin — vous pouvez le vérifier car elles ont un goût légèrement sucré.

    Ces gélules végétales de ‘taille 0’ mesurent à peine 0,76 cm de diamètre pour 2,17 cm de longueur.

    Ces gélules sont spécialement conçues (avec un fond hémisphérique) pour être avalées facilement — fini les gélules énormes qui vous restent coincées en travers de la gorge. Et c’est un exploit en soit pour ce complément qui est super-chargé en principes actifs !

    Ces gélules sont aussi conçues pour être légères… pour éviter les reflux.

    Ces gélules sont soigneusement dosées pour vous apporter exactement la quantité d’actifs qu’il faut. Entre nous… nous avons autre chose à faire de nos journées que de peser nos ingrédients à la petite cuillère.

    Ces gélules sont conçues pour rester hermétiquement fermées, même sous la pression, même si la bouteille est secouée dans tous les sens pendant vos voyages.

    Ainsi, les principes à l’intérieur restent préservés de l’oxydation de l’air. Ce n’est qu’au moment où la gélule se dissout dans votre corps que les précieux ingrédients, encore intacts, sont libérés pour aller agir là où il faut.

    Pensez aux années d’innovations qu’il a fallu pour aboutir à cette gélule ultra-perfectionnée. Malgré toute cette technologie nécessaire, son prix reste marginal. Et ce, alors que ces gélules végétales (en cellulose) sont plus coûteuses que les gélules de gélatine de bœuf.

    C’est le miracle de la modernité  : nous pouvons nous procurer des ingrédients naturels d’autant meilleurs que l’emballage et le transport ne coûtent presque plus rien.

    N’est-ce pas un miracle de la modernité ?

    Imaginez combien il vous en coûterait si vous deviez aller vous-même  :

    - récolter du gingembre à Laiwu, « la Cité du Gingembre », en Chine, où l’on cultive le gingembre depuis presque 3000 ans [23]

    - récolter l’oli-banum dans les montagnes du Rajasthan (dans le Nord de l’Inde)

    - pêcher le crabe dans le lac d’eau douce Yangcheng (proche du fleuve Yang Tsé Kiang, le ‘Fleuve Bleu’) pour extraire la glucosamine de sa carapace

    - pêcher des crevettes et des poissons sauvages dans le Golfe du Tonkin pour extraire la chondroïtine et la glucosamine de leurs tissus conjonctifs

    - récolter la racine de Windhoek dans la savane semi-désertique du Kalahari, en Namibie

    retourner en Inde, mais tout au Sud cette fois, dans l'État du Keralapour récolter du curcuma

    Mais avec Nankotsu, ce sont tous ces ingrédients qui viennent à vous, tout frais, dans un grand pilulier en verre.

    Nankotsu vous arrivera dans un pilulier en verre — voici pourquoi

    Oui, j’ai choisi un pilulier en verre pour Nankotsu.

    Certes, le verre est, à l’achat, un peu plus cher que le plastique.

    Mais le verre se recycle. C’est un emballage ‘responsable’. Alors que le plastique devrait être incinéré ou enfoui. En fin de compte, le plastique coûtera plus cher à la communauté.

     

    Le pilulier en verre m’est apparu un meilleur choix sur le long terme

    Comme vous pouvez le constater, c’est un verre sombre, fumé.

    Ceci permet de protéger les précieux actifs de Nankotsu des rayons U.V. de la lumière.

    Idéalement, votre pilulier de Nankotsu sera rangé dans un placard, à l’abri de la lumière.

    Mais s’il vous arrivait d’oublier votre pilulier sur la table de la cuisine, vous êtes assuré que le verre sombre continuera de protéger vos précieuses gélules. C’est une tranquillité d’esprit supplémentaire pour vous.

    Enfin, tous les piluliers Nankotsu sont scellés à la main, pour garantir la qualité du produit fini.

    Pour réserver votre Nankotsu, cliquez ici.

    je prédise que mon blog , n'est pas un site marchant, je ne touche rien sur des produits, cet article est juste fait pour aider ceux qui souffrent !

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