• Soulager l’Arthrite, l’Arthrose avec les thérapies naturelles

    Voilà un grand sujet car les traitements naturels sont nombreux et les sujets atteints de ces troubles encore plus.

    A mesure qu’on avance en âge on voit apparaître ces problèmes qui signent ainsi le vieillissement de l’organisme.

     

    Rhumatismes, arthrose, arthrite, les symptômes ne sont pas les mêmes mais l’origine l’est.

    De la rouille, qui commence par être une gêne, mais qui par la suite crée de véritables calcifications, des déformations et enfin de l’incapacité. Tout d'abord il est essentiel de réformer son alimentation.

    Les produits carnés en priorité devront sévèrement être réduits ou mieux, éliminés de votre alimentation.

    Cette alimentation devra en priorité être végétarienne.

    Elle doit être riche en antioxydants. A l'honneur sur votre table les fruits et les légumes. Évidemment toutes les grandes thérapeutiques naturelles seront bénéfiques, comme le jeûne (en priorité hydrique), les monodiètes de fruits juteux, jus de fruits, légumes non farineux, seront les bienvenues et permettront un certain retour en arrière.

    D'autre part, nous avons vu que les produits animaux n'étaient pas les bienvenus mais je voudrais ajouter que le lait de vache en particulier est un facteur non négligeable de tous ces phénomènes douloureux.

    Donc restriction impérative de laitages.

    Et ne vous tracassez pas pour le calcium, car c'est la première question que vous allez entendre, nous en avons par ailleurs et le calcium des laitages est particulièrement difficile à assimiler et au contraire il se retourne contre vous.

    Les orientaux n'en prenne pas et que je sache ils ne se cassent pas plus que nous et ils ont moins de rhumatismes.

    Les monodiètes pourront être faites avantageusement avec des fraises, riches en silice, des citrons ou encore du cassis (anti arthritique), des cerises, de la myrtille, des pommes.

    - Une activité physique sera également la bienvenue.

    N'oublions pas que notre peau est certainement l'organe d'élimination le plus important, que les glandes sébacées fonctionnent comme de petits reins et sont à même d'éliminer les déchets cristalloïdes, ceux précisément qui nous embarrassent dans ces troubles. Donc allez suer sur les chemins.

     

    L'HYDROTHERAPIE

    Lorsque le mal est là il vaudra mieux utiliser l'hydrothérapie chaude. Par exemple des bains de mains et de pieds pour les petites articulations.

    Pour ce bain on peut mélanger plusieurs plantes efficaces dans ce genre de maladie

    comme l'ortie,

    le mille-pertuis,

    le plantain, 

    le souci,

    l'harpagophytum,

    la prêle,

    la racine de bardane,

    la racine de pissenlit,

    la reine des prés, l

    a vergerette du canada,

    l'aubier de tilleul sauvage, en infusion longue, et prendre un ou 2 bains complets par semaine pendant 20 minutes.

    Des bains localisés seront mis en place chaque jour et même plusieurs fois par jour en mettant dans l'eau du bain les plantes choisies.

    Toutes ces plantes pourront également servir pour faire des infusions.

    La prêle par exemple élimine l'acide urique. Uriner dans l'eau du bain, ou dissoudre du bicarbonate de soude.

    On peut aussi faire des cataplasmes chauds d'argile ou même d'eau argileuse.

    Le curé Kneipp n'hésitait pas à faire des cataplasmes froids sur les parties malades.

    Ils se réchauffaient vite. -

    On peut faire également des cataplasmes au piment rouge. Prendre un piment rouge coupé en deux et l'appliquer sur la partie malade, excellent contre l'arthrite.

    - Contre le rhumatisme déformant, plongez les petites articulations atteintes dans un sac rempli de feuilles de bouleau.

    - Des bains d'algues marines '(en sachets tout préparés en para pharmacies) chauds durée de 20 à 30 minutes.

     

    - La magnéto thérapie agit bien dans ces affections.

    Les aimants peuvent apporter un véritable soulagement dans ces affections..

    - Le jus de pommes de terre frais, ou encore le jus de chou vert frais à boire tout au long de la journée.

    - Mâchez 2 ou 3 grains de genièvre - Emplâtres de feuilles de chou sur les parties douloureuses, à garder le plus longtemps possible.

    - Les pommes sont extrêmement salutaires pour ces troubles et on devra surtout ne pas jeter la peau qui est ici essentielle.

    On en fera même des infusions, que de pelures de pommes.

    - L'oignon est également très bénéfique veillez à ce qu'il y en ait toujours dans votre assiette, cru ou cuit, c'est un diurétique puissant.

    - Contre l'épine calcanéenne une compresse imbibée de vinaigre de vin ou de cidre, à garder environ pendant 2 heures.

    A répéter aussi souvent que possible.

    - Une petite cure d'extrait de pépins de raisins.

    - Et puis ma petite cure sauvage : Le fouet de feuilles d'orties fraîches. Cela produit une grosse bulle, douloureux pendant quelques secondes seulement, et très efficaces contre toutes les douleurs arthritiques. Sadique !!! bad

     

    HOMEOPATHIE CAUSTICUM :

    C'est le rhumatisant chronique avec tendance ankylosante, enraidissante et déformante. Traitement de fond Prendre en 9 ou 15 CH, 1 fois tous les 10 jours.

    Et en traitement journalier : GUAIACUM : C'est le rhumatisme déformant. Les articulations sont enflées et sensibles au toucher.

    C'est un uricémique ou un goutteux. EN 5CH 3 granules 2 fois par jour.

    AMMONIUM MURIATICUM : C'est l'arthritique gras, indolent et irritable, aggravé par le froid, en 5CH 3 gr 1 fois par jour.

    RHUS TOXICODENDRON : Les douleurs rhumatismales, articulaires ou tendineuses chroniques. Raideur au repos, le matin au lit et aux premiers pas, s'améliore au mouvement.

    En 5CH 3 gr 1 fois par jour.

    TEINTURES MERES URTICA URENS :

    Employé contre les rhumatismes musculaires et articulaires, la goutte, l'arthrite, la diathèse urique. 3 fois par jour 10 gouttes dans un peu d'eau.

    SOLIDAGO : Diurétique, agit bien dans les processus inflammatoires, c'est un solvant de l'acide urique. 3fois par jour 15 gouttes.

    BETULA ALBA : le bouleau blanc : Utile contre les lithiases, la goutte, les rhumatismes musculaires et articulaires, la diathèse urique. 4 fois par jour 20 gouttes.

    SALIX ALBA - le saule blanc - Nette action anti-rhumatismale. 3 fois par jour 25 gouttes.

    GEMMOTHERAPIE PINUS MONTANA (le pin) Contre l'arthrose en général et les rhumatismes chroniques non inflammatoires.

    VITIS VINIFERA (la vigne) - Arthrite des petites articulations, polyarthrite chronique évolutive, les rhumatismes déformants

    AMPELOPSIS WEITCHI (vigne vierge)

    - Rhumatismes douloureux, inflammatoires, déformants Tous bourgeons macérât glycériné D1 (Environ 50 gouttes par jour)

    A votre santé , Monyka cool


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  • Nom commun : stévia.

    Nom botanique : Stevia rebaudiana, famille des astéracées ou composées.

    Nom anglais : stevia.

    Partie utilisée : feuilles.

    Stévia

    Habitat et origine : petit arbuste originaire du nord de l’Amérique du Sud (Brésil et Paraguay), aujourd’hui cultivé sur une base commerciale en Amérique centrale, en Amérique du Sud, aux États-Unis, en Russie et en Asie.

    Indications

    En traitement

    Efficacité possible

    Réduire la tension artérielle

    Voir la légende des symboles

    Efficacité incertaine

    Abaisser le taux de glucose sanguin

    Pour plus de détails, voir Recherches sur la stévia.

    Posologie du stévia

    On attribue les effets du stévia aux stéviosides qu’il renferme. La teneur en stéviosides des feuilles peut varier de 4 % à 20 % du poids sec en fonction des cultivars employés et des conditions de culture. Pour obtenir l’effet thérapeutique recherché, il importe donc d’employer un extrait normalisé en stéviosides.

    Hypertension artérielle

    Prendre de 250 mg à 500 mg de stéviosides, 3 fois par jour.

    Historique du stévia

    Les Indiens Guarani d’Amérique du Sud ajoutaient à leurs infusions de plantes des feuilles de stévia pour les adoucir. Au Brésil et au Paraguay, on les utilise depuis des siècles en cuisine. En Amérique latine, la phytothérapie traditionnelle considère le stévia comme hypoglycémiant, hypotenseur, diurétique et cardiotonique.

    Il a quand même fallu attendre le début du XXe siècle pour qu’on commence réellement à s’intéresser aux stéviosides de la plante, qui possèdent un pouvoir sucrant de 100 à 300 fois supérieur à celui du sucre sans aucune calorie.

    Au début des années 1970, le Japon a interdit l’usage des édulcorants artificiels (aspartame, saccharine) parce que les autorités craignaient leurs effets négatifs sur la santé humaine. Au même moment, un consortium japonais mettait au point une méthode d’extraction des glucosides du stévia. L’État japonais a alors autorisé l’extrait de stévia comme édulcorant alimentaire. Son usage s'est rapidement répandu en Asie et en Amérique du Sud. Il est également approuvé en Australie et en Nouvelle-Zélande depuis 2008 et est désormais présent dans plusieurs produits agroalimentaires : de la sauce soya aux boissons gazeuses en passant par la gomme à mâcher, les tortillas et les gâteaux de riz.

    En mars 2009, l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments (AFSSA) a émis un avis favorable pour l’utilisation du rebaudioside A (une des molécules du stévia) comme additif alimentaire pour une période de 2 ans1. En avril 2010, la European Food Safety Authority (EFSA) a estimé que les stéviosides étaient sécuritaires comme additifs alimentaires2.

    Aux États-Unis

    Le stévia est commercialisé sous forme de supplément, mais il n’est pas approuvé comme édulcorant ou additif alimentaire dans ce pays. En revanche, certaines multinationales ont présenté des demandes pour leur molécule brevetée à base de stévia, dossier scientifique à l’appui. En décembre 2008, Coca-Cola et PepsiCo ont ainsi obtenu le feu vert de la Food and Drug Administration (FDA) pour incorporer, dans leurs produits, respectivement le Truvia® (fabriqué par Cargill) et le PureVia® (fabriqué par Whole Earth Sweetener). Ces produits sont aussi commercialisés par leurs fabricants respectifs à titre d’édulcorant qu’on peut ajouter soi-même aux boissons et aux aliments. En mars 2008, la compagnie Wisdom Natural Brands a obtenu l’autorisation de commercialiser son extrait purifié de stévia, SweetLeaf®, à titre d’édulcorant.

    E t au Canada?

    Pour l’instant, comme aux États-Unis, la vente de la plante brute et de ses extraits est permise à titre produit de santé naturel, mais pas comme additif dans les aliments transformés. Santé Canada se dit prêt à réviser cette position si l’industrie alimentaire fait une demande d’approbation adéquatement documentée pour ajouter l’extrait de stévia aux additifs autorisés.

    En revanche, depuis septembre 2009, le stévia et ses extraits sont autorisés, sous certaines conditions, comme ingrédient médicinal et non médicinal dans les produits de santé naturels3. Santé Canada explique cette différence par le fait que les habitudes d’utilisation des aliments et des produits de santé naturels sont différentes : les aliments sont généralement consommés en grandes quantités, ce qui n’est pas le cas des produits de santé naturels4.

    Recherches sur le stévia

    Efficacité possible Hypertension artérielle. Selon les résultats actuels, les extraits de stévia seraient utiles pour les personnes souffrant d’hypertension, mais des doutes subsistent. En Chine, 2 études cliniques de très bonne qualité et de longue durée (1 an et 2 ans, 750 mg et 1 500 mg de stéviosides par jour5,6) ont donné des résultats concluants auprès de patients souffrant d’hypertension légère ou modérée (réduction d’environ 7 %). Malgré la qualité de ces essais, certains analystes soulèvent le fait très surprenant qu’aucun effet placebo n’ait été observé lors de ces 2 études, ce qui jette un doute sur leurs conclusions7,8. En 2006, une étude menée au Brésil n’a pas été concluante9. Ceci peut être attribuable au nombre très restreint de sujets (14) et au dosage nettement moins élevé que celui des essais menés en Chine. Ces 3 études ont néanmoins clairement établi l’innocuité de la prise régulière de stéviosides sur de longues périodes.

    Au Paraguay et aux États-Unis, on a mené des essais auprès de personnes dont la tension était normale ou légèrement plus basse que la normale. La prise de 750 mg d’extrait de stévia par jour durant 3 mois10 et 1000 mg par jour durant 4 semaines11 n’ont pas eu d’effet mesurable sur la tension artérielle des participants. L’auteur d’une synthèse émet l’hypothèse que l’effet bénéfique du stévia sur la tension ne se manifesterait que lorsqu’elle est trop élevée12.

    Efficacité incertaine Glucose sanguin. Des essais de faible envergure (de 12 à 31 sujets) indiquent que l’extrait de stévia a :

    - augmenté la tolérance au glucose et abaissé le taux de glucose sanguin chez des sujets en bonne santé13.

    - abaissé la glycémie après un repas type chez des patients atteints de diabète de type 214.

    - abaissé la glycémie après un repas chez des personnes minces ou obèses en bonne santé15.

    Malgré ces résultats prometteurs, des études de meilleure qualité et de plus grande envergure seront nécessaires avant de conclure à l’efficacité du stévia.

    Ces résultats tendent à corroborer l’usage traditionnel du stévia qui est utilisé en Amérique du Sud pour traiter le diabète. Cependant, ils n’ont pas été confirmés par 2 autres essais menés sur des sujets en bonne santé11,16. Là encore, l’auteur d’une synthèse émet l’hypothèse que l’effet bénéfique du stévia sur la glycémie ne se manifesterait que lorsqu’elle est trop élevée12.

    Divers. Les chercheurs s’intéressent également aux effets anti-inflammatoires et anticancer des extraits de stévia. On ne dispose pour le moment que de données in vitro et sur les animaux12,17.

    Précautions

    Potentiellement toxique?

     Les Japonais estiment avoir démontré l’innocuité du stévia et de l’extrait standardisé en stéviosides18. Cela a permis à ce pays et à plusieurs autres en Asie et en Amérique du Sud d’autoriser son emploi comme additif alimentaire. Le stévia et les extraits standardisés en stéviosides sont employés depuis environ 30 ans dans ces régions du monde. Cependant, certains pays, dont le Canada, ne l’ont pas encore autorisé.

    La raison le plus souvent invoquée pour justifier cette prudence est que les stéviosides pourraient avoir un impact négatif sur la reproduction humaine. Selon une source ethnobotanique paraguayenne, le stévia serait en effet considéré, à fortes doses, comme une plante abortive19,20. Un potentiel effet cancérigène inquiète également les autorités de santé. Après avoir analysé attentivement l’ensemble des données sur ces questions, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a conclu, en 2006, que les stéviosides n’ont pas d’effets négatifs sur la reproduction et ne sont pas cancérigènes21.

     La dose journalière sécuritaire fixée par Santé Canada, dans le cadre de la réglementation des produits de santé naturels, est semblable à celle fixée ailleurs dans le monde, soit 10 mg de stéviosides par kilogramme de poids corporel. Cela correspond à 700 mg par jour pour un adulte de 70 kg. Pour les personnes consommant des feuilles de stévia en poudre, cela équivaut à un maximum de 50 mg/kg, soit 3 500 mg pour un adulte de 70 kg3.

    Attention

    On recommande aux personnes souffrant d'un diabète de type 2, d’hypertension ou d’hypotension qui désirent prendre du stévia de vérifier régulièrement leur taux de glucose sanguin ou leur tension artérielle, afin de faire ajuster leur médication si nécessaire.

    Contre-indications

    Par prudence, certaines sources recommandent aux femmes enceintes et à celles qui allaitent d’éviter de consommer de grandes quantités de stévia.

    Effets indésirables

    Le stévia pourrait provoquer des allergies chez les personnes allergiques aux plantes de la famille des astéracées (marguerite, pissenlit, chrysanthème, etc.), bien qu’aucun cas n’ait été signalé à ce jour22.

    Selon un essai conduit sur des animaux, le stévia ne provoque pas de carie23.

    Interactions

    Avec des plantes ou des suppléments

    Les effets du stévia pourraient s’ajouter à ceux des plantes ou des suppléments qui ont une action hypotensive ou hypoglycémiante.

    Avec des médicaments

    Les effets du stévia pourraient s’ajouter à ceux des médicaments hypotenseurs ou hypoglycémiants.

    Sur les tablettes

    Dans le commerce, on trouve le stévia sous 2 formes principales.

    La poudre de feuilles séchées. Son pouvoir édulcorant est de 10 à 15 fois plus élevé que celui du sucre. Elle a été traditionnellement employée pour adoucir le goût des tisanes de plantes amères.

    Stévia

    L’extrait normalisé (au moins 90 % de stéviosides). Il est constitué d’une poudre blanche soluble dans l’eau. Il est aussi offert sous forme liquide. Son pouvoir édulcorant est beaucoup plus élevé que celui du sucre raffiné (de 100 à 300 fois), sans aucune calorie. Il faut l'utiliser avec beaucoup de parcimonie. Les sites Internet qui en font le commerce présentent des tables de conversion (spécifiques à leurs produits) qui permettent de doser adéquatement cet édulcorant.

    Stévia

     

    Le goût. La feuille entière a un arrière-goût un peu amer qui peut rappeler la réglisse. L'extrait en poudre, une fois mélangé à un liquide, aurait moins d'arrière-goût. Des extraits liquides aromatisés sont aussi offerts (menthe, vanille, etc.).

    note : On la trouve en sucrette dans les grandes sufaces


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    Tous savoir sur les campes

    Les crampes désignent des troubles musculo-squelettiques se manifestant par des contractions musculaires involontaires, soutenues, temporaires et plus ou moins douloureuses, le plus souvent bénignes.

    Elles peuvent survenir au repos, y compris pendant le sommeil, ou lors d'un effort physique assez intense, que ce soit durant l'échauffement, pendant l'exercice, ou même pendant la phase de récupération.

    Mécanismes et symptômes de la crampe haut L'origine des crampes est relativement complexe et relève souvent de plusieurs facteurs combinés, qu'ils soient vasculaires (trouble de la circulation sanguine et vascularisation musculaire insuffisante pendant un court instant) ou métaboliques (production en excès d'acide lactique), déshydratation,

    La crampe débute généralement de manière soudaine et brutale, sans qu'aucun signe préalable ne permette de l'anticiper.

    Elle se traduit par la contraction douloureuse involontaire et incontrôlable d'un muscle ou d'un faisceau de muscles entraînant une incapacité fonctionnelle temporaire du groupe musculaire atteint.

    Elle est de courte durée (de quelques secondes à plusieurs minutes). En cas de contraction prolongée, on parle de tétanie. Les muscles les plus souvent touchés par des crampes sont ceux des membres inférieurs, et en particulier du mollet.

    Causes et typologies des crampes haut On distingue plusieurs types de crampes, qui varient en fonction de leurs causes.

    Elles peuvent être liées à un effort sportif, d'origine métabolique ou encore résulter de différentes pathologies.

    Les crampes d'origine sportive sont généralement liées à un effort intense, et surviennent en particulier si la préparation physique et l'échauffement musculaire ont été négligés.

    Elles peuvent relever également d'une sudation excessive ou d’un effort musculaire excessivement intense impliquant une contraction soutenue et prolongée.

    Les crampes d'origine métabolique se déclarent le plus souvent lors de phénomènes de déshydratation, de dyskaliémie (carence en potassium) ou insuffisance en vitamines B1, B5 ou B6.

    Il existe d'autres causes potentielles comme un défaut de circulation sanguine dans le muscle (lié par exemple au froid, qui diminue la vascularisation).

    Enfin, les crampes peuvent être liées à d'autres affections susceptibles de les provoquer, telles que le les troubles artériels circulatoires dans les membres inférieurs (claudication intermittente), le diabète, la sclérose en plaques, la poliomyélite ou encore la maladie de Parkinson.

    Facteurs de risque des crampes haut

    Une hydratation insuffisante, une mauvaise préparation à l'effort, un effort excessif, le froid ou l'abus de café, d'alcool et de tabac constituent ainsi, parmi d'autres, des facteurs de risque potentiels.

    Les crampes sont d'ailleurs susceptibles d'apparaître plus fréquemment chez certaines personnes : les femmes enceintes, les sportifs ou les personnes âgées sont ainsi plus concernés que la moyenne.

    Traitement et prévention des crampes haut Excepté les cas où une pathologie est responsable des crampes, il n'existe pas de remède miracle pour stopper les crampes, qui disparaissent d'elles-mêmes assez vite.

    Le repos physique temporaire, en stoppant l'effort, et les étirements musculaires en sens inverse de la contraction involontaire, éventuellement associés à un massage du muscle, restent les meilleures manières d'apaiser ces contractions intempestives.

    Enfin, il est possible de prévenir les risques de crampe grâce à un échauffement physique adapté à l'effort, une hydratation régulière avant et pendant l’effort, et une alimentation riche en sel, magnésium, potassium et vitamine B6.

    Approches complémentaires des crampes haut Homéopathie Prendre 3 granules en 9 CH, trois fois par jour, de Magnesia phosphorica et de Cuprum metallicum (qui convient également pour lutter contre les crampes d’estomac).

    Il est également possible de prendre, à la même posologie, Ruta graveolens. Si les crampes sont particulièrement douloureuses, prendre Arnica montana.

    En cas de crampes nocturnes, prendre Aesculus composé à l’apparition de celle-ci.

    Pour lutter contre les crampes des doigts, opter pour Argentum nitricum et Magnesia phosphorica en 7 CH.

    Aromathérapie Certaines huiles essentielles sont traditionnellement utilisées pour lutter contre les crampes, notamment les huiles essentielles de : Origan vulgaire, Laurier noble, Lavande fine (Lavandula angustifolia) Thym vulgaire à thymol.

    Autres remèdes naturels D’autres remèdes naturels sont réputés pour agir contre les crampes.

    Le baume du tigre, les oligo-éléments et notamment du magnésium associé à de la vitamine B6 et du potassium, des massages aux huiles végétales, des bains chauds.


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