• Une cure détox de l’aisselle est un excellent moyen de désintoxiquer tout votre corps et peut aider à réduire les risques de cancer du sein.

    Saviez-vous que beaucoup d’études cliniques trouvent un nombre anormalement élevé de cancers du sein dans la zone où les produits cosmétiques sont appliqués ?

    Le tissu du sein est adipeux, et les toxines s’y stockent.

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    La plupart des déodorants classiques et produits que nous utilisons quotidiennement contiennent du chlorhydrate d’aluminium, des parabènes, du propylèneglycol, du triclosan, des TEA et DEA, ou du quaternium 18, entre autres produits chimiques toxiques.

    Certains de ces produits chimiques augmentent le risque de cancer du sein en mimant les œstrogènes.

    La plupart des cas de cancers du sein se développent d’abord en tant que cancers hormono-dépendants, c’est-à-dire que la croissance et la progression de la maladie sont en corrélation avec le taux d’œstrogènes.

    Dans une étude de 2007 publiée dans le Journal of Inorganic Biochemistry, des chercheurs ont testé des échantillons mammaires de 17 patientes ayant subi une mastectomie.

    Les femmes qui ont utilisé des antisudorifiques avaient des dépôts d’aluminium dans le tissu externe du sein.

    Les concentrations d’aluminium étaient plus élevées dans le tissu proche de l’aisselle.

    Les parabènes augmentent également le risque de cancer du sein en imitant l’œstrogène, selon certains experts.

    Les chercheurs ont trouvé des parabènes à l’intérieur des tumeurs du sein autopsiées.

    Le Dr Darbre commente l’étude : « Les parabènes sont utilisés comme conservateurs dans des milliers de produits cosmétiques, alimentaires et pharmaceutiques, mais cette étude est la première à prouver leur accumulation dans les tissus humains.

    Elle démontre que si les gens sont exposés à ces produits chimiques, ces derniers s’accumulent dans le corps « .

    La transpiration est une fonction importante de notre corps.

    Elle contient des produits chimiques qui combattent les maladies.

    Voilà pourquoi il est essentiel de garder les pores des aisselles non obstrués.

    Un amas de nœuds lymphatiques travaille à éliminer les cellules étrangères.

    Une cure de désintoxication des aisselles peut aider à déboucher les pores, et à évacuer les toxines stockées et les résidus de produits chimiques :

    Ingrédients

    1 cuillère à soupe de vinaigre de cidre de pomme biologique (ACV)

    3 gouttes d’huile essentielle de romarin

    5 gouttes d’huile essentielle de coriandre

    1 cuillère à soupe d’argile bentonite

    Instructions

    Mélangez l’ACV et l’argile dans un bol en verre. Ajoutez les huiles essentielles.

    Le mélange doit être lisse.

    Étendez une mince couche de ce mélange sur votre aisselle et laissez-le pendant quelques minutes.

    Rincez bien et répétez tous les jours jusqu’à ce que l’odeur disparaisse et que ce ne soit plus irritant.

    Répétez quotidiennement si nécessaire.

    Buvez beaucoup d’eau pendant la désintoxication ; votre corps en a besoin pour déloger les toxines.

    http://www.santeplusmag.com/


    2 commentaires
  • Pour un usage optimal des huiles essentielles au quotidien,
    il est important de suivre quelques règles importantes :
    manipulation, qualité et sécurité.

    huiles-essentielles

    Le respect de ces précautions évitera tout risque de mauvaise utilisation et, à terme, tout problème éventuel.

    Sachez manipuler les huiles essentielles et respecter les dosages

    Avec les huiles essentielles, on ne laisse aucune place à l’improvisation !

    En raison de leur très riche teneur en principes actifs, il est très important de les manipuler avec précaution.

    En effet, certaines d’entre elles ne doivent absolument pas être appliquées sur la peau ni diffusées dans l’atmosphère. Il convient donc de respecter de façon très stricte les dosages recommandés, tout en suivant les conseils d’utilisation.

    Par ailleurs, l’usage des huiles essentielles est déconseillé aux femmes enceintes et/ou allaitantes, aux enfants âgés de moins de 6 ans, ou toute personne souffrant d’asthme et de crises d’épilepsie. Si vous êtes dans ce cas, l’avis d’un professionnel est vivement conseillé, avec une prescription personnalisée.

    Là où vous ne devez jamais faire usage d’huiles essentielles…

    À aucun moment il ne faut utiliser l’huile essentielle par injection intraveineuse ou intramusculaire, ni l’appliquer pure dans les oreilles, le nez, les yeux, ou encore la mettre en contact avec les muqueuses du corps.

    Diluez les huiles essentielles

    Les huiles essentielles n’ont pas de propriété hydrosoluble, elles ne peuvent donc pas se dissoudre dans l’eau

    (si vous versez quelques gouttes d’huile essentielle dans un bain, celles-ci resteront à la surface).

    En outre, le risque est grand de subir des irritations de la peau, voire des brûlures. Il est donc fortement recommandé de diluer ces huiles essentielles, par exemple avec de l’huile végétale, du vinaigre, ou encore du savon liquide.

    Il existe quelques très rares exceptions où il est possible d’appliquer des huiles essentielles pures directement sur la peau.

    N’ingérez pas une huile essentielle sans l’avis d’un spécialiste

    Par mesure de sécurité, il est indispensable de consulter un médecin ou un spécialiste afin de vérifier si vous pouvez ou non ingérer une huile essentielle.

    À aucun moment il n’est conseillé de procéder à l’automédication.

    Préservez les huiles essentielles du soleil

    Certaines huiles essentielles sont photosensibilisantes.

    En cas d’application ou d’ingestion de variétés d’huiles aux agrumes, il est déconseillé de s’exposer au soleil pendant une durée de 12 heures.

    Cela concerne notamment les huiles
    essentielles de millepertuis, de pamplemousse, d’orange, de citron, de mandarine et de bergamote.

    Faites un test sur la peau avant toute application

    Grâce à un test très simple, il est possible de vérifier les réactions potentiellement néfastes provoquées par l’huile essentielle.

    Pour cela, mélangez 1 c. à café d’huile végétale d’amande douce ou de jojoba avec 1 goutte d’huile essentielle de votre choix.

    Après avoir enduit la pliure de votre bras ou déposé une goutte sur votre poignet d’un échantillon de ce mélange, procédez à un petit massage sur la zone en question.

    Laissez agir 24 heures, puis observez les éventuelles réactions sur cette zone.

    En cas d’absence de plaques, de démangeaisons ou d’inflammation, il est alors possible d’utiliser cette huile essentielle sans craindre une réaction !

    Conservez hors de portée des enfants et des animaux

    Au même titre que les produits ménagers dans vos placards, il est important de disposer d’un emplacement adapté pour conserver vos huiles essentielles afin qu’elles ne soient pas à la portée des enfants ou même des animaux domestiques.

    L’idéal est de les ranger dans une armoire en hauteur.

    Conservez correctement vos huiles essentielles

    Les principes actifs des huiles essentielles sont sensibles et volatiles.

    Il est donc important de conserver les flacons dans de bonnes conditions.

    En tous les cas, il faut que le fl acon soit fait de verre teinté, fermé hermétiquement, conservé à l’abri de la lumière et dans un endroit où la température est stable.

    Utilisez des huiles essentielles bio

    En achetant une huile essentielle bio, pure et naturelle, on a l’assurance que les actifs sont garantis très sains, sans pesticides ou autres principes actifs provenant de la pétrochimie.

    Réagissez immédiatement en cas d’accident

    Nul n’est à l’abri d’un accident suite à une mauvaise manipulation des huiles essentielles.

    Voici des conseils dans les cas suivants :

    • En cas d’absorption accidentelle, appelez immédiatement le SAMU ou contactez le centre antipoison régional. En aucune façon il ne faut boire de l’eau ; pour diluer, il est conseillé d’ingérer 3 c. à soupe d’huile végétale (au choix : huile de tournesol, d’olive, de colza, etc.).
    • En cas de projection oculaire, ne nettoyez pas l’oeil et la zone avec de l’eau.
    • Prenez un coton et imbibez-le
      généreusement d’huile végétale pure.
    • En l’absence de coton, on répandra quelques gouttes d’huile végétale directement sur le globe oculaire, avant de prendre rendez-vous chez le médecin ou l’ophtalmologue, si l’irritation persiste.
    • En cas de brûlure provoquée par une huile essentielle dermocaustique, munissez-vous d’huile végétale et aspergez la zone enflammée immédiatement. Là encore, n’aspergez pas la zone d’eau.
    • Sources : http://www.grands-meres.net/

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  • Ce nouveau traitement naturel est, littéralement, d’une efficacité hallucinante contre les cas désespérés de dépression !!!

    Eight things you didn't know about #magic #mushrooms: Following the discovery of #psychedelic #fungi in the gardens at Buckingham Palace, we've compiled a list of interesting and bizarre facts about 'shrooms'. 1. There are roughly 200 species of mushroom that can be classified as ‘magic’. Their common ingredient, psilocybin, induces mind-altering effects by forming new neural pathways in the brain.

    Il s’agit des « champignons magiques », ou champignons hallucinogènes, bien connus de ceux parmi nous qui ont vécu les années 60, les Beatles, « yellow submarine », etc.

    Ces « champignons magiques » contiennent de la psilocybine, administrée aux patients sous forme de gélule.

    La consommation de ces champignons, très en vogue chez les hippies dans les années 60, est aujourd’hui interdite par la loi.

    Toutefois, des scientifiques de l’Imperial College de Londres ont eu l’autorisation de les utiliser dans le cadre d’une expérience scientifique.

    Ils ont sélectionné 12 patients frappés de dépression grave et, jusque là, ayant résisté à tous les traitements.

    Ils leur ont fait avaler des gélules contenant ce champignon sous forme de poudre. Dans un premier temps, sans surprise, les patients ont connu un intense délire psychédélique. [1] C’est le but premier des champignons magiques, me direz-vous.

    Mais tenez-vous bien, une semaine plus tard, tous les participants à l’expérience étaient libérés de leur dépression. Trois mois plus tard, cinq d’entre eux n’avaient plus aucun symptôme du problème !!

    Les résultats de cette étude ont été publiés dans la prestigieuse revue médicale The Lancet Psychiatry le 17 mai 2016. [2]

    L’explication proposée serait que la psilocybine provoquerait la croissance de neurones nouveaux dans le cerveau.

    Un succès sans aucun équivalent

    « Il s’agit d’un succès sans aucun équivalent qui pourrait révolutionner le traitement de la dépression », selon Amanda Feiling, de la Fondation Beckley, qui a participé à l’étude.

    « Pour la première fois depuis de nombreuses années, des personnes qui avaient épuisé toutes les pistes de traitements actuellement disponibles ont témoigné d’une baisse de leur anxiété, d’une montée de leur optimisme et de le leur capacité à jouir de la vie », a-t-elle déclaré. [3]

    « Notre étude a montré que la psilocybine est sûre et qu’elle agit vite si elle est administrée avec soin », a expliqué dans la presse britannique le Pr David Nutt, ancien conseiller médical du gouvernement britannique. [4]

    « Si elle est administrée avec soin » : cette condition est importante à souligner, en effet. Les champignons hallucinogènes provoquent, comme leur nom l’indique, des hallucinations, peuvent brouiller la vision, donner le mal de mer, provoquer de l’anxiété, de l’agitation et même des crises de paranoïa.

    La personne peut s’imaginer menacée par des dangers qui n’existent pas et adopter des comportements dangereux, comme par exemple traverser une route passante en courant et sans vérifier que la voie est libre. Des cas de suicides et d’accidents causés par les champignons hallucinogènes ont été rapportés. En revanche, ces champignons ne sont pas empoisonnés, et il n’existe pas de cas répertorié de décès provoqué par les champignons eux-mêmes (des cas ont été signalés de personnes s’étant intoxiquées en mangeant de mauvais champignons en croyant que c’était des champignons magiques). [5]

    Une thérapie qui pourrait (devrait !) être bon marché

    Les champignons hallucinogènes utilisés dans cette étude sont communs et peu coûteux. On les trouve en Europe, en Amérique du Nord et en Asie. L’ingrédient actif, la psilocybine est présente dans environ 200 espèces de champignons de type basidiocmycète.

    Un numéro d’Alternatif Bien-Être révélait comment ils sont parvenus à ces résultats exceptionnels naturellement. Et comment il est possible aussi de prévenir et guérir le diabète.

    Dans un monde normal, la dépression pourrait être traitée avec ces champignons pour 35 euros par personne, selon le Pr David Nutt.

    Cependant, les réglementations et procédures administratives sont si compliquées pour obtenir l’autorisation de les utiliser que le coût revient à 1750 euros par dose, soit 50 fois plus cher.

    Il a dénoncé les procédures « kafkaïennes » imposées par les autorités, qui ont obligé son équipe à attendre 32 mois avant d’être autorisées à faire cette simple expérience.

    Les autorités imposent des exigences irréalistes

    Le problème également est que les autorités imposent des exigences irréalistes pour autoriser ce traitement.

    Des années d’études et de procédures administratives vont être nécessaires pour qu’un jour, en 2040, voire en 2050, votre médecin vous propose le traitement.

    Les 350 millions de personnes à travers le monde qui souffrent de dépression vont donc très probablement continuer à souffrir inutilement pendant des années.

    Notre seule stratégie de défense est de faire circuler l’information. Faites savoir autour de vous ce qui est en train de se passer. Contribuez à briser le mur du silence !!

    Les personnes gravement dépressives ont le droit d’être informées que ce traitement potentiel existe, et qu’il ne présente pas de danger particulier à partir du moment où il est pris sous étroite surveillance médicale.

    C’est une information capitale quand on sait l’enfer que vivent les grands dépressifs.

    Il faut avoir le courage de le dire, même s’il s’agit de champignons qui ont mauvaise réputation pour des raisons historiques et culturelles. Mais il n’y a objectivement pas de raison, pour moi, que les autorités privent arbitrairement les grands dépressifs de cette planche de salut possible.

    En attendant de pouvoir accéder à ce nouveau traitement, vous avez la possibilité de recourir aux plantes pour soigner la dépression (s’il ne s’agit pas d’une dépression profonde). Il existe quatre plantes médicinales, reconnues comme ré-équilibrantes des neuromédiateurs déficitaires impliqués dans la dépression : ce sont le safran, la griffonia, le millepertuis et le pois mascate.

    À votre santé !

    Jean-Marc Dupuis

    Sources de cet article :

    [1] Exactement du type de celui que connaissaient les Beatles lorsqu’ils s’imaginaient qu’ils vivaient tous dans un « sous-marin jaune » (we all live in a yellow submarine).

    [2] Psilocybin with psychological support for treatment-resistant depression: an open-label feasibility study

    [3] Ibid.

    [4] Magic mushrooms lift severe depression in trial

    [5] Are magic mushrooms bad for you?


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