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    La vitamine C a une fonction antioxydante à large spectre avec la capacité de protéger les structures cellulaires et l’ADN des dommages causés par les radicaux libres. La vitamine C est remarquablement sûre même à des doses extrêmement élevées. Comparativement aux médicaments d’ordonnance couramment utilisés, les effets secondaires sont pratiquement inexistants.

    Quelle que soit la concentration, la vitamine C ne nuit pas aux cellules saines. Pourtant, grâce à un éventail de réactions enzymatiques et métaboliques, la vitamine C a une capacité impressionnante de protéger et de traiter un large éventail de maladies, dont le cancer. Quand quelque chose est aussi efficace pour traiter la maladie, la FDA ne reculera devant rien pour empêcher l’accès du public.

    Les avantages d’une consommation à long terme de vitamine C supérieure à l’apport quotidien recommandé par le gouvernement américain (AJR) sont largement reconnus et comprennent la réduction des risques de cancer, de maladies cardiovasculaires et de cataractes.

    Des apports en vitamine C supérieurs à l’ANR ont été associés à une augmentation du bon cholestérol HDL, à une diminution de l’oxydation du cholestérol LDL, à une baisse de la tension artérielle et à une diminution de la mortalité cardiovasculaire.

    Le premier médecin à utiliser agressivement la vitamine C pour traiter la maladie fut Frederick R. Klenner, M.D., au début des années 1940. Le Dr Klenner a traité avec succès la varicelle, la rougeole, les oreillons, le tétanos et la polio avec d’énormes doses de vitamine C.

    Il a utilisé des doses massives de vitamine C pendant plus de 40 ans en médecine familiale. De nombreux praticiens qui pratiquent avec la vitamine C IV considèrent que le traitement est plus efficace que n’importe quel vaccin jamais inventé.

    La vitamine C joue un rôle antioxydant de premier plan dans l’espace intercellulaire entourant chaque cellule. Il a également la capacité de régénérer et d’optimiser d’autres antioxydants clés tels que la vitamine E.

    C’est une vitamine hydrosoluble scientifiquement connue sous le nom d’acide ascorbique (forme réduite). Son absorption est relativement efficace à 70-90% pour les faibles doses. Tout excès de vitamine C qui n’est pas absorbé dans le tube digestif est excrété. Cela prévient le surdosage par ingestion orale.

    Les humains sont l’une des rares espèces d’animaux qui ne sont pas capables de produire de la vitamine C. Nous comptons sur l’apport alimentaire pour maintenir nos réserves. De nombreuses personnes ayant un faible apport alimentaire en fruits et légumes ont des niveaux sous-optimaux de vitamine C. En fait, il est souvent démontré que les patients atteints de cancer ont des niveaux très bas de vitamine C.

    Les preuves démontrent que la vitamine C est l’un des meilleurs agents antiviraux actuellement disponibles. La vitamine C peut neutraliser et éliminer un large éventail de toxines. La vitamine C augmentera la résistance de l’hôte, augmentant considérablement la capacité du système immunitaire à neutraliser les infections bactériennes et fongiques.

    Une étude publiée dans l’American Heart Journal a révélé que le risque d’insuffisance cardiaque augmentait avec la diminution de la vitamine C plasmatique ; chaque augmentation de 20 moles/L de la concentration plasmatique de vitamine C était associée à une réduction relative de 9% du risque d’insuffisance cardiaque.

    La vitamine C dans le traitement du cancer

    Dans les années 1970, les docteurs Ewan Cameron, Nikolaas Campbell et Linus Pauling ont été les premiers à signaler l’utilisation de fortes doses de vitamine C pour traiter les patients en phase terminale du cancer. Ils ont constaté que les traitements IV et oraux augmentaient le temps de survie par rapport aux patients qui n’avaient pas reçu de traitement.

    Depuis les premières études de Cameron et Pauling, le mécanisme anticancéreux exact de la vitamine C a été étudié et clarifié.

    Considérant les différentes fonctions de la vitamine C dans l’organisme humain, deux modes d’action distincts ont été identifiés en matière de cancer. En prévention, la vitamine C a des effets antioxydants qui protègent la structure et les fonctions cellulaires clés.

    Il prévient également la formation de composés cancérigènes dangereux. La dose pour obtenir un effet antioxydant est faible (moins de 2 grammes) et peut être obtenue par l’apport alimentaire ou la supplémentation orale.

    Le deuxième mécanisme d’action est en fait un effet pro-oxydant. Il est prouvé que les doses supérieures à 15 grammes ont un effet “pro-oxydant” en générant du peroxyde d’hydrogène, qui à son tour détruit sélectivement les cellules cancéreuses.

    De fortes doses de vitamine C sont administrées de préférence dans les régions entourant la tumeur parce que la molécule de vitamine ressemble à une molécule de sucre et que les cellules cancéreuses ont une demande accrue de sucre pour alimenter leur croissance non régulée.

    Lorsqu’elle se trouve à proximité des cellules, la molécule de vitamine C réagit avec un ion métallique comme le fer ou le cuivre et forme une molécule de peroxyde d’hydrogène qui endommage la cellule cancéreuse.

    Au-delà des effets pro- et antioxydants, il a été démontré que la vitamine C régularise la division cellulaire via la protéine p53 (essentielle au traitement et à la prévention du cancer), améliore la réponse immunitaire et réduit la gravité de la cachexie (perte de poids due au cancer).

    Une étude récente a également révélé que la vitamine C à forte dose réduisait les taux de protéines C-réactives et les cytokines pro-inflammatoires chez les patients cancéreux, ce qui a eu des effets positifs sur les marqueurs tumoraux.

    Linus Pauling, Ph.D., et Ewan Cameron, M.D., ont publié un rapport de cas portant sur une centaine de patients atteints d’un cancer en phase terminale qui avaient reçu des doses élevées de vitamine C par voie IV et orale. Les patients ayant reçu ce traitement ont survécu en moyenne 300 jours de plus qu’un groupe témoin de patients ayant un état pathologique similaire, et 22 % de ceux-ci ont vécu au-delà de un an, contre seulement 0,4 % dans le groupe témoin.

    Sur la base de ces résultats, le Dr Pauling a convaincu le National Cancer Institute (NCI) d’évaluer ce traitement dans le cadre d’un essai clinique auprès de patients atteints d’un cancer avancé. Mais lorsque les résultats ont été publiés, la vitamine C n’a montré aucune valeur thérapeutique.

    Pourquoi ? Parce que plutôt que d’utiliser la vitamine C par voie intraveineuse et orale comme l’avaient fait les Drs Pauling et Cameron, le NCI a utilisé uniquement de la vitamine C par voie orale. Bien sûr, l’étude a échoué – il est impossible d’atteindre les niveaux sanguins requis avec des doses orales.

     

    L’organisme contrôle étroitement les niveaux de cette vitamine en limitant l’absorption intestinale. L’administration intraveineuse contourne ce mécanisme de contrôle et les concentrations sanguines augmentent en fonction de la dose.

    Par exemple, 10 g de vitamine C IV augmentent les concentrations sanguines 25 fois plus élevées que la même dose prise par voie orale, et ce chiffre peut être multiplié par 70 à mesure que les doses augmentent. Néanmoins, l’étude imparfaite a donné aux médecins conventionnels une excuse pour éviter la vitamine C, et jusqu’à ce jour, ils la déterrent comme preuve que la vitamine C est inefficace comme traitement contre le cancer.

    Mark Levine, M.D., chercheur aux National Institutes of Health, a fait beaucoup de travail sur les mécanismes de la vitamine C dans le traitement du cancer. C’est l’équipe du Dr Levine qui a découvert exactement comment la vitamine C tue le cancer.

    La vitamine C interagit avec le fer et d’autres métaux dans le fluide extracellulaire (par opposition à l’intérieur des cellules) pour créer du peroxyde d’hydrogène. Le peroxyde d’hydrogène joue un rôle vital de signalisation dans le système immunitaire, en acheminant les globules blancs vers les sites de blessure ou de maladie.

    En concentrations élevées, il fait beaucoup plus. Le peroxyde d’hydrogène endommage l’ADN et les mitochondries des cellules aberrantes, coupe leur approvisionnement énergétique et les tue. Mieux encore, contrairement à presque tous les médicaments de chimiothérapie conventionnels qui détruisent les cellules cancéreuses, il est sélectivement toxique. Quelle que soit la concentration, la vitamine C ne nuit pas aux cellules saines.

    Attentes, résultats et posologie

    Quelle quantité de vitamine C est une dose thérapeutique efficace ? Le Dr Klenner a administré jusqu’à 300 000 mg par jour. En général, il administrait de 350 à 700 mg par kilogramme (2,2 livres) de poids corporel par jour. Le Dr Klenner a souligné que les petites quantités ne fonctionnent pas.

    La posologie et la voie d’administration de la vitamine C sont essentielles pour déterminer si elle a une action antitumorale directe ou une fonction antioxydante de soutien. Les niveaux nécessaires pour obtenir des effets tumoricides directs sont d’au moins 200-1000 micromol/L. Pour atteindre ces niveaux plus élevés d’anticancéreux, des doses IV de 25 à 50 grammes sont nécessaires. 50 grammes de vitamine C IV peuvent atteindre un taux plasmatique de plus de 14 000 micromol/L. La supplémentation orale est insuffisante en raison d’une absorption très limitée dans le tube digestif.

    Les taux plasmatiques de vitamine C atteignent leur maximum après 200 mg de suppléments oraux, et la dose orale maximale avant l’apparition de selles molles est d’environ 4 grammes. L’absorption orale peut être augmentée si les doses sont fractionnées au cours de la journée, prises avec un repas ou dans une préparation à libération prolongée. Même en utilisant la même dose de 10 grammes, l’administration intraveineuse a permis d’obtenir un taux plasmatique de vitamine C 50 à 150 fois plus élevé que la supplémentation orale.

    Les taux de vitamine C (et de peroxyde d’hydrogène) atteignent leur maximum dans les 30 minutes suivant l’administration intraveineuse, puis reviennent à la normale dans les 24 heures. Cela rend le traitement anticancéreux direct efficace pour une courte période de temps seulement et donc des traitements fréquents sont nécessaires.

    L’avantage est que d’autres thérapies peuvent être utilisées peu de temps après la prise de vitamine C, sans crainte d’interactions. La plupart des oncologues intégrateurs recommandent des traitements IV une ou deux fois par semaine, avec supplémentation orale tous les autres jours, pendant au moins 12 mois, avec des tests de laboratoire réguliers pour évaluer les marqueurs tumoraux et leur progression.

    Un certain nombre d’études de synthèse et d’études de cas réalisées par des médecins et des chercheurs spécialisés en cancérologie intégrative ont fait état d’une amélioration du temps de survie au cancer et de la qualité de vie, voire d’une régression tumorale dans certains cas, après des traitements hebdomadaires à la vitamine C IV effectués régulièrement pendant 12 mois ou plus.

    Il est également important de noter que la thérapie à la vitamine C peut ne pas fonctionner pour tout le monde et pour tous les types de cancer. Il est toujours recommandé de consulter votre médecin naturopathe pour savoir si le traitement à la vitamine C vous convient.

    La FDA veut que la vitamine C IV soit interdite

    Maintenant, la FDA interdirait aux petites pharmacies de fabriquer ou de distribuer de la vitamine C injectable, même si la vitamine C est une puissante substance cicatrisante qui convient parfaitement à de nombreux problèmes de santé.

    Non seulement la FDA cherche à éradiquer l’utilisation de la vitamine C IV, mais elle s’efforce également d’interdire le chlorure de magnésium injectable et le complexe injectable de vitamine B 100. Ces substances sont utilisées pour fabriquer ce qu’on appelle le ” cocktail Myers “, qui est utilisé pour des maladies comme le syndrome de fatigue chronique, l’hépatite, le sida, la mononucléose et la grippe.

    Un signe sûr d’un agent thérapeutique puissant est quand la FDA essaie de l’arrêter.

    Leur raisonnement n’a rien à voir avec la sécurité, car la vitamine C s’est toujours avérée être l’un des nutriments les moins toxiques dans les aliments et les formes liquides ont un historique d’utilisation sûre. Au lieu de cela, la FDA interdit la vitamine C IV parce qu’elle ne peut pas être brevetée et qu’elle ne peut être soumise au processus d’approbation de la FDA pour un “nouveau médicament”.

    Bien que les doses orales puissent corriger les carences et maintenir les niveaux d’antioxydants dans l’organisme, les perfusions IV sont nécessaires pour atteindre des niveaux plasmatiques pro-oxydants et anticancéreux. Pour en tirer le maximum d’avantages, des traitements par voie orale et IV sont nécessaires pour tirer parti de la vaste gamme d’effets anticancéreux. Bien que d’autres études soient nécessaires, il existe un grand nombre de preuves démontrant que c’est une vitamine efficace qui peut jouer un rôle majeur dans un plan de traitement intégratif du cancer.

    Sources :
    sciencedaily.com
    vitalitymagazine.com
    whitakerwellness.com
    mercola.com
    smashcancer.com
    drmortonwalker.com

    Source originale : Prevent Disease


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  • Il faut croire que le rideau de fer marche maintenant à l’envers, surtout en ce qui concerne la médecine. Personne en France n’a entendu parler de ces petits comprimés jaunes baptisés en Russie « Kapillar » qui sont censés déboucher et relancer la circulation capillaire de tout l’organisme. Les effets sont tellement miraculeux que les russes n’hésitent pas à promettre un allongement de vie moyen de 20 à 25 ans (en bonne santé !).


    Il suffit d’essayer une dizaine de jours seulement pour constater des effets immédiats, ne serait-ce qu’au niveau de la clarté d’esprit ; ce n’est guère étonnant lorsque l’on sait que le cerveau est irrigué par 100 km de capillaires autour desquels s’alignent en grappes des millions de neurones, tels des arbres au bord d’une rivière.
    Mon ami Nicolas, handicapé d’une jambe dont la fonte musculaire résulte d’une polio dans sa première jeunesse, s’est plaint depuis toujours que sa jambe était froide ; au bout de 10 jours de traitement à seulement 4 comprimés par jour, sa jambe était chaude !

    L’incroyable système capillaire.

    Réfléchissez : Tous les médicaments de la circulation sanguine n’agissent que sur les réseaux artériels et veineux qui ne représentent en fait que 20% de la circulation totale ; à savoir que le cœur ne pompe le sang que dans ces 20% du réseau.

    Les 80% restants sont constitués d’une énorme pelote de cheveux creux, répartis dans tout le corps et d’une longueur évaluée à (tenez-vous bien) 100.000 km !

    Ces micro tuyaux sont tellement fins, qu’un seul globule rouge peut passer à la fois, et encore, en s’aplatissant…. Il est évident que le cœur est incapable de pousser le sang dans un tel système. Alors, comment la progression capillaire peut elle se faire ? Et bien simplement par un mécanisme péristaltique commandé par le système nerveux parasympatique – (comme pour l’intestin).

    Des dizaines de milliers de capillaires offrent aux cellules de proximité l’oxygène et tous les nutriments dont elles ont besoin, tout en évacuant les toxines et les déchets. Si les capillaires sont endommagés ou colmatés, le flux sanguin se trouve ralenti voire stoppé, les cellules sont alors affamées, assoiffées et étouffent par manque d’oxygène.

    Cela conduit à la mort cellulaire et à la dégénérescence.
    Sachez qu’à l’âge de la retraite, il ne reste chez beaucoup de personnes, en moyenne que 40% de leur réseau capillaire fonctionnel. Vous voyez ce que cela veux dire ?…

    Salmanov et la capillothérapie.

    L’éminent médecin russe A.S. Salmanov (1875-1965.) a été le premier à proposer une amélioration de la santé et du bien être grâce au rétablissement des capillaires.

    Il écrit : « La question n’est pas de trouver un traitement pour une maladie bien définie, mais de restaurer le corps endommagé du patient, indépendamment du diagnostic.

    La raison de ces anomalies fonctionnelles réside surtout dans les capillaires.

    Les traitements actuels négligent l’importance du travail des capillaires où 80% du sang circule pour approvisionner dans la profondeur, les organes et les tissus.

    La conservation et le bon fonctionnement des capillaires doit être la base de la médecine future ».
    De grands hôpitaux et centres médicaux à Rome, Paris et Berlin ont utilisé avec succès, pendant de nombreuses années la capillothérapie du Dr Salmanov.

    NOTA : Personnellement, voici plus de 35 ans que je vante dans mes différents ouvrages et publications l’incroyable efficacité, quasi immédiate, des applications de compresses chaudes et froides selon les préceptes de ce grand monsieur dans différentes pathologies telles que otite aiguë, gastrite aiguë, crise de foie, crise de colite, etc. en 21 minutes. Hélas bien peu de gens sont enclins à sortir du réflexe sécurisant de l’assistanat médical, bien souvent lourd et coûteux…

    Le taxifolin (dihydroquercétine).

    Cette substance est extraite d’un bois de mélèze Sibérien écologiquement pur, qui est un puissant bioflavonoïde dont la structure moléculaire ressemble à celle de la quercétine. Près de 600 études sur plusieurs décennies, réalisées en Russie pour la plupart, ont été publiées sur son efficacité, ainsi que sur l’absence d’effets secondaires.

    Récemment la société Blogovitol Limited a commencé une enquête scientifique en coopération avec le département de recherche médicale à l’hôpital de l’université de Mayence en Allemagne.
    Jusqu’ à présent toutes les enquêtes confirment que la dihydroquercétine possède en plus des propriétés anti oxydantes sur le processus métabolique, d’importants effets de protection du système cardiovasculaire. Depuis nombre d’années la dihydroquercétine connait un important succès en tant que complément alimentaire sur le marché russe.
    Les conclusions convergentes des études ont montré que la dihydroquercétine (taxifolin) :

    • Protège les membranes cellulaires.
    • Améliore la micro-circulation sanguine dans tout l’organisme.
    • Normalise le métabolisme au niveau cellulaire.
    • Exerce des activités anti-inflammatoires et hépatoprotectrice.
    • A un effet anti-œdémateux.
    • Diminue les niveaux du cholestérol.
    • Réduit la formation de caillots et la viscosité sanguine,
    • Agit en synergie avec la vitamine C dont elle renforce les effets
    • Inhibe le vieillissement prématuré des cellules renforce les parois des vaisseaux et des capillaires
    • Normalise le cholestérol et les triglycérides du sang empêche l’athérosclérose réduit le risque d’AVC
    • Réduit le risque de crise cardiaque antioxydant plus puissant que la vit E, la rutine et le bêta-carotène
    • Renforce le flux sanguin dans la rétine, apportant une protection contre la DMLA
    • Prévient la formation de la cataracte en inhibant une enzyme du cristallin
    • Abaisse la pression sanguine
    • Normalise la mesure électrique associée à l’activation des ventricules du cœur
    • Inhibe la peroxydation lipidique inhibe l’apolipoprotéine B, un des premiers composants du LDL
    • Augmente la concentration et l’activité intellectuelle dans 60 % des cas.

    Le Capillar.

    C‘est à partir de la dihydroquercétine – flavonoïde – que les scientifiques russes ont développé CAPILLAR complément alimentaire actif, fabriqué en conformité avec les enseignements de Salmanov.
    C’est un produit qui réunit à la fois les propriétés de la vitamine E et de certaines substances, telles que la rutine et le Β-carotène, mais décuplées.
    La fabrication de la dihydroquercetine à partir de la poudre de bois des mélèzes sibériens est conforme à des normes technologiques et hygiéniques très strictes.
    Le contrôle du produit final obtenu est réalisé par chromatographie liquide.

    Indications :
    • Allergies
    • Arythmie cardiaque
    • Athérosclérose
    • Baisse de mémoire
    • Cardiopathies ischémiques
    • Cataracte
    • Diabète type 2
    • DMLA
    • Fonction cérébrale défectueuse
    • Hypertension
    • Hyperviscosité sanguine
    • Immuno-déficience
    • Inflammations
    • Membres et extrémités froides
    • Obstructions capillaires du cerveau
    • Stase capillaire périphérique
    • Système cardiovasculaire délabré
    • Varicosités
    • Vieillissement de la peau

    Situations d’urgence (Infarctus cardiaque ou cérébral, poussée hypertensive, arythmie paroxystique, tachycardie)

    Dans certains hôpitaux de Russie, le premier geste avant la prise en compte médicale des patients est de leur faire prendre 8 à 12 comprimés de Capillar il suffit d’une vingtaine de minutes pour calmer la crise paroxystique, et de sortir de la phase dangereuse.
    Gardez cela en mémoire, et prévoyez une boite de secours, pour une alerte éventuelle dans votre entourage ou pour vous-même.

    NOTA : Selon les expérimentations personnelles que nous avons effectuées sur nous-mêmes et notre entourage, il nous est apparu que le Capillar n’a pas toujours les effets attendus sur des végétaliens purs – et j’ignore pourquoi. Il est très probable que les études russes n’aient été établies que sur des carnivores, les végétaliens y étant rarissimes en raison de la rudesse du climat.

    Composition par comprimé :

    Dihydroquercétone : 10mg

    Sorbitol : 24 0mg

    NOTA : le Sorbitol est un ensemble de sucres naturels lents, destiné à adoucir l’amertume du produit. Contrairement à ce que pensent certains, le Sorbitol ne présente aucun danger pour la santé, on le retrouve en outre souvent, dans le chocolat (ne pas confondre avec l’Asparthame, le Glutamate et autres édulcorants).

    Posiologie : première semaine 1 comprimé 3 fois par jour 

                      Ensuite : 2 comprimés 3 fois parjour,

                       ou 3 comprimés 2 fois par jours

                      Durée: 4 à 6mois éventuellement reprises de 3 mois ,

                       après interruption d'1 mois

     

    De nombreux témoignages :

    En plus du cas extraordinaire de la jambe en séquelle polio vieille de 50 ans de mon ami Nicolas (citée plus haut) qui s’est réchauffée en 10 jours.

    • Personnellement mes arythmies cardiaques, quelquefois importantes, que je traîne depuis des décennies se sont estompées après une dizaine de jours de traitement, mes cheveux repoussent et mes douleurs inflammatoires récurrentes du dos ont disparu.
    • Une majorité de personnes ont attesté d’une sensation de clarté d’esprit dans les semaines qui suivirent.
    • Un homme de 87 ans devenu aveugle suite à un glaucome a commencé à revoir après quelques semaines de traitement.
    • Différentes femmes ont vu les varicosités un peu inesthétiques qu’elles avaient depuis des années aux jambes s’effacer  à  75%.

    Enfin de nombreuses personnes nous ont écrit pour dire qu’en l’espace d’une semaine, ils avaient constaté que leur esprit était plus clair, plus vif, et leur mémoire bien améliorée.

    Source ; ICI


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  • Le silicium, constituant du quartz minéral, est aussi présent en notre corps, au cœur de nos cellules. Par ses nombreuses propriétés et notamment les interactions avec la conscience, il est l’élément-clé de notre évolution humaine actuelle car, quand nous l’activons en nous dans ses fonctions avancées, il modifie notre génétique et nous connecte à des champs plus élevés de la conscience, nous faisant découvrir notre multi dimensionnalité et nous permettant de l’expérimenter en conscience.

     

    Le silicium met tout le vivant en résonance. Il permet l’évolution et l’adaptation. Il est un résonateur, un capteur, un stockeur, un amplificateur et un transmetteur d’informations de tous types. Il intervient sur les rythmes et l’harmonisation des différentes formes de la matière.

    Très réactif, il permet aux cellules d’un corps de vibrer en correspondance avec les fréquences terrestres et de recevoir l’information venant du cosmos, notamment l’information retranscrite par le Soleil et exprimée par les vents solaires. Le silicium a un rôle unificateur, harmonisant toutes vies dans l’Unité et l’Universalité.

    Il est présent en quantité importante dans le règne minéral terrestre, notamment les quartz, mais aussi dans les plantes, les animaux et les êtres humains.

    Le silicium est l’élément-clé du changement de fréquences terrestre et du changement de densité matérielle. Dans sa forme minérale en surface, dans la croûte et le manteau terrestre, il sert d’interface entre les informations cosmiques de lumière et les formes terrestres de matière. Il est une clé entre le monde quantique et le monde matériel.

    Silicium et conscience

    Le silicium a de nombreuses propriétés en lien avec la conscience. Il peut être programmé, informé et peut stocker puis restituer l’information. Il est un élément-bibliothèque et un élément-horloge par la piézo-électricité. Ces propriétés sont utilisées dans les technologies de pointe actuelles avec la silice minérale (quartz).

    Tous les atomes de silicium sont en résonance entre eux. La silice est l’élément le plus important de la croûte terrestre, formant un réseau de conscience pour la planète, à l’image du système nerveux d’un corps physique, au niveau de la Terre. Il soutient les changements de potentiels entre les différentes dimensions et permet l’adaptation du vivant à ces changements.

    Le silicium présent dans notre corps résonne avec la silice minérale et par extension avec l’ensemble des informations véhiculées par le réseau de quartz de la planète. Sa fonction de résonateur nous permet de nous coordonner, adapter et maintenir dans les mêmes bandes de fréquence que la Terre.

    Quand nous avons conscience de pouvoir interagir avec le silicium et que nous acceptons l’échange d’informations, le silicium présent dans notre corps développe des propriétés avancées qui font évoluer notre conscience : la part active de notre cerveau grandit, nos perspectives s’élargissent, notre intuition nous guide, nous ressentons l’Amour et l’Unité présents dans tout le continuum du vivant, la qualité de notre expérience incarnée s’améliore. Nous découvrons la multidimensionnalité de la conscience, les différentes strates présentes simultanément et inter-reliées, nous développons la capacité d’être dans ces strates au même instant, l’expérience s’élargit. Nous pouvons nous connecter directement sur le champ de connaissance, accédant de manière immédiate aux informations qui nous sont nécessaires, sans avoir eu besoin de les apprendre auparavant, et sans besoin d’imitation. Il interagit avec notre conscience, nous permettant de la déployer dans des dimensions de plus en plus vastes. Nous expérimentons le vécu de lignes de temps parallèles, et de passage d’une ligne de temps à une autre, sans que le mental ordinaire puisse censurer l’expérience avec les filtres habituels.

    Silicium, activation génétique et structure corporelle

    Dans les cellules animales et humaines, le silicium est un régulateur des rythmes et harmonise sur les fréquences essentielles.

    Au sein des cellules, il capte l’information génétique et la retransmet dans les fréquences adéquates aux organes qui ont besoin de cette information. Il est un vecteur de communication. Il permet la mémorisation, l’équilibrage des potentiels dans la membrane cellulaire, la réplication dans le centriole. Le silicium agit comme agent liant, catalyseur et amplificateur. Il permet à l’ADN d’exécuter son programme de manière cohérente.

    Une cellule animale ou humaine oscille autour des centrioles. Ces centrioles constitués essentiellement de silicium sont couplés à l’ADN, qui contient lui aussi du silicium. Comme une antenne, l’ADN capte les informations lumineuses et électromagnétiques et les retransmet au centriole, qui à son tour va commander aux mécanismes de la cellule, et aussi à la réplication. Le silicium du centriole se comporte comme un quartz piézo-électrique entre l’ADN du noyau de la cellule et le cytoplasme.

    C’est à cet endroit du corps physique que la mutation opère actuellement. Les informations des nouvelles fréquences reçues par le silicium, si elles sont acceptées et validées par la conscience, vont éveiller les « gènes dormants », qui sont programmés pour fonctionner avec le silicium dans ses fonctions avancées.

    L’être humain devient un relais pour les circuits d’information de la silice d’une part, et pour le champ christique d’autre part. Dans ce nouvel équilibre, l’être humain synthétise tout le silicium dont il a besoin sans nécessité d’un apport extérieur car la synthèse du silicium est prévue dans les nouveaux programmes génétiques. Avant d’avoir opéré cette mutation, il est important de prévoir des cures apportant du silicium en quantité suffisante au corps afin de l’aider à se préparer et lui permettre d’œuvrer à la transformation.

    Le silicium activé en conscience éveille l’ADN humain endormi. Il permet l’intégration des nouvelles matrices morphogénétiques au sein de l’ADN et la mise en œuvre des nouveaux programmes.

    En activant en nous-même, par notre demande et notre engagement conscient, la « priorité silicium », nous permettons à l’ADN inactif de se révéler peu à peu, nous libérons nos potentiels et l’expérience devient non plus linéaire mais multidirectionnelle, avec de nombreux niveaux de jeu expérimentés simultanément.

    Le silicium activé nous permet de servir de relais de surface aux transferts d’informations Ciel/Terre en complément du règne minéral, depuis notre matière en mutation.

    Nous devenons un pont entre le règne cristallin et le règne christique, qui correspondent de manière harmonique. Quand tu es connecté en Christ, tu actives ton potentiel d’évolution cristalline, la modification de ta propre structure génétique minérale. Et quand tu communies avec des cristaux et que tu permets à leurs informations de circuler en toi, tu ouvres la porte vers le champ christique intérieur. C’est un cycle vertueux. Tu élargis tes amplitudes de connexions dimensionnelles, tu actives enfin directement les gènes dormants qui attendaient le signal donné par toi-même, par ta conscience prête à se déployer dans un corps réactualisé. Ton génome s’ouvre, élargissant le champ des expériences possibles et t’octroyant de nouvelles capacités physiques, cognitives, sensorielles, créatives. La glande pinéale au centre de la tête, qui connecte le cerveau humain à la conscience universelle, contient des cristaux d’apatite et de la silice.

    Mais le plus important est que le silicium activé donne l’information prioritaire de l’Un, de l’Unité. Il relie toutes les consciences au sein de la Grande Conscience et abolit les perceptions, croyances et habitus séparés. Il permet de franchir le seuil évolutionnaire majeur.

    L’axe de deux regards en vibration christique est un pivot autour duquel peut se créer un monde viable. L’axe du regard de deux êtres en Christ correspond aux deux centrioles de la cellule, pleins de silicium, qui pulsent l’un avec l’autre et qui par ces échanges électriques diffusent l’information reçue. L’axe du regard pivot autour duquel se déploie un univers correspond à l’axe des centrioles pivot autour duquel oscille la cellule.

    Évolution : silicium versus carbone

    Le silicium est la base de notre future forme matérielle, qui ne sera plus centrée sur le carbone. La structure carbonée rigide 3D sera remplacée progressivement par une structure silicée quantique (simultanéité ressentie des lignes de temps et des différentes dimensions, mise en expérience d’un ensemble de potentiels).

    La matière terrestre végétale, animale et humaine est basée sur une structure carbonée, avec des molécules agglomérées sur du carbone, élément qui permet la stabilité.

    Le corps carboné répond à la programmation gravitationnelle et à la densité de surface terrestre. Le corps originel choisi pour l’incarnation et stocké parmi les matrices de formes dans le Soleil central de la Terre n’a pas cette obligation de carbone. Dans d’autres environnements nous pouvons habiter des corps structurés autrement que sur du carbone. Dans d’autres dimensions de la conscience/de la vie, le corps se structure, se synthétise sur un autre modèle chimique/atomique, pourtant tous ces corps sont issus du même moule, du même modèle, du même gabarit : l’Être multidimensionnel a plusieurs enveloppes possibles correspondant aux différents champs de fréquence/conscience dans lesquels il expérimente.

    Le système à priorité carbone, par sa rigidité, a permis une matière très dense mais aussi très limitée dans ses possibilités, binaire. C’est l’assujettissement au carbone qui a plongé la vie terrestre dans cet environnement de dualité et dans ce temps linéaire. Ces conditions sont la conséquence de la matrice carbonée. Elles sont le reflet de l’expérience séparative choisie par la Création.

    Le système à priorité silicium est beaucoup plus souple et ouvert, mais aussi beaucoup moins stable, se rapprochant de ce qui est observé au niveau microscopique par la physique quantique. Il permet plusieurs expériences simultanées, depuis la conscience et depuis le corps. Il ouvre sur un ensemble de réponses et possibilités multiples et non pas binaires. Il permet de garder la cohérence et l’unité d’un corps et d’une conscience, dans une expérience multidimensionnelle simultanée. Les multiples expériences sont liées entre elles d’une manière totalement nouvelle, différente du continuum espace-temps du système carboné. La conscience unifiée se trouve au centre du système, l’ensemble des expériences se déployant dans toutes les directions. Cette mutation vers le système silicé est à ses prémices au niveau de la vie terrestre, commence à être perçue par certaines consciences mais nul ne peut prédire de calendrier du basculement collectif de l’expérience.

    Elle est déjà vécue partiellement dans certains corps humains qui reçoivent des fréquences et des énergies trop élevées pour le seul système carboné, aussi certaines molécules sont-elles déjà basées sur du silicium afin de servir de soupape, de lieux de souplesse pour supporter l’adaptation et l’accélération.

    Activer le silicium en soi

    Le silicium répond à la conscience : décrétons, exprimons que nous souhaitons activer le silicium en nous dans son potentiel le plus élevé. Exemple de décret à dire (le mieux est que chacun s’exprime avec ses propres mots en se laissant inspirer par son intuition) :

    « Le silicium de mon corps résonne avec le silicium terrestre, m’harmonisant aux fréquences essentielles. Le silicium active ma génétique, déploie ma conscience, ma présence et ma puissance dans le potentiel le plus élevé disponible, pour le plus grand bien de tous et pour l’amour de toute vie. »

    Se supplémenter en silicium lors de cures périodiques, avec du silicium extrait de végétaux ou du silicium organique, qui apporteront du silicium physique dans le corps.

    Confectionner des élixirs de quartz, qui n’apporteront pas de silicium physique mais l’information subtile. Pour faire un élixir de quartz, prendre un quartz de la meilleure qualité possible (ni traité ni taillé ; le mieux est de l’avoir trouvé dans la nature), de le poser dans une eau claire, dans un bocal transparent en verre, et de le laisser un jour et une nuit à la lumière, si possible sous les rayons du Soleil. Puis de boire cette eau informée par petites gorgées durant la journée suivante. L’idéal est de préparer un élixir en période de vent solaire, afin d’accueillir en douceur et conscience les informations qu’il véhicule.

    Se syntoniser sur des sons de silice si possible accordés en 432 Hz, qui vont émettre des fréquences harmonisatrices : bols de cristal, harpes de cristal (silicophones).

    Se tenir au centre d’un mandala de quartz disposé selon une structure géométrique qui nous correspond, et y demander que notre silicium interne se syntonise et s’actualise.

    Tenir un quartz dans la main réceptrice (généralement la main gauche) et se laisser recevoir l’information émise par la pierre, en ouvrant consciemment l’espace de sa structure corporelle. Sentir la pulsation de la pierre dans le creux de la main, puis le flux entrer dans le bras et circuler jusqu’au Cœur, où il est accueilli en résonance.

    https://archere-stellaire.wixsite.com et  http://elishean-portesdutemps.com 

     


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