• On ne présente plus le glutathion,

     le plus important et le plus efficace des antioxydants endogènes.

    Le glutathion est tout simplement la première ligne de défense de l'organisme contre le stress oxydatif et les multiples xénobiotiques (toxines exogènes comme les benzènes, métaux lourds, pesticides et autres) qui agressent en permanence nos cellules et nos enzymes.

    L'accumulation des dommages oxydatifs est le mécanisme biochimique le plus communément admis du vieillissement et de la dégradation des fonctions physiologiques qui lui est associé.

    Il existe une corrélation directe entre le vieillissement et la réduction des concentrations intracellulaires de glutathion, ainsi qu'une forte corrélation entre l'accroissement de ces concentrations et l'augmentation du taux de survie.

    Les scientifiques sont maintenant convaincus que des niveaux optimaux de glutathion sont indispensables pour soutenir le système immunitaire, protéger et détoxiquer le foie, éloigner le risque de maladies chroniques et promouvoir la longévité.

    Pourquoi un comprimé de glutathion à sucer ?

    Malheureusement, il est difficile et coûteux d'accroître la concentration sérique de glutathion par voie orale. L'intestin humain contient des quantités importantes d'une enzyme, la gamma-glutamyltranspeptidase, qui dégrade le glutathion dès qu'il est ingéré !

    La seule stratégie disponible jusqu'à présent consistait donc à ingérer d'importantes quantités de glutathion, de préférence en compagnie d'autres antioxydants destinés à le maintenir autant que possible sous sa forme réduite, pour qu'une partie au moins arrive aux cellules cibles (voir notre produit Glutathion).

    Stratégie coûteuse (le glutathion est l'un des nutriments les plus chers) et aléatoire.

     

    Cependant, des études humaines ont montré que l'absorption du glutathion est fortement accrue lorsque celui-ci est placé dans la bouche, entre la joue et la langue.

    En fait, une prise orale de glutathion une à trois fois par jour, permet de ramener les concentrations sériques et cellulaires à la normale en quelques heures.

     L'absorption perlinguale est la voie d'administration la plus rapide, la plus efficace et la plus économique disponible.

    C'est donc un complément particulièrement important et innovant que SuperSmart met à votre disposition : pour la première fois, il devient possible de rétablir à son niveau optimal le constituant central du système de défense antioxydant de l'organisme, d'une manière sûre et pour un coût abordable !

    Avec quel autre complément peut-on prendre Perlingual glutathione ?

    Pour accroître les niveaux en glutathion au sein de l’organisme, deux précurseurs de cet antioxydant sont également disponibles dans le catalogue SuperSmart : la N-Acétyl-Cystéine et la L-Glutamine.

    Plusieurs études montrent que la déplétion en glutathion pourrait aussi être réduite grâce à l’activité de l’acide R-alpha-lipoïque, un puissant antioxydant.

    Dans la médecine anti-âge, celui-ci est souvent associé à la diméthyléthanolamine (DMAE), un précurseur de l’acétylcholine connu pour ses effets neuroprotecteurs.

    Perlingual glutathione 100 mg est un complément alimentaire de glutathion, l’antioxydant le plus puissant fabriqué par l’organisme. 
    Pour maximiser sa biodisponibilité et éviter sa dégradation enzymatique dans les voies intestinales, il est disponible sous la forme d’un comprimé à sucer.

    La voie perlinguale permet en effet d’obtenir de meilleures concentrations cellulaires de glutathion que la voie orale classique..

    Petite anecdote , le professeur Montagné en a prescrit au Pape Jean Paul  2 , pour éviter les tremblements dont il souffrait !

    Sources : LIEN

     

     

     

     

     

     

     


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  • Chère lectrice, cher lecteur,

    J’ai mis au point une recette de bombe artisanale contre les infections en tout genre.

    Et je préfère vous prévenir : c’est de la dynamite en bouteille.

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    Un grand verre de nitroglycérine qui va mettre le feu à votre système immunitaire.

    À manipuler avec précaution donc…

    La solution extrême quand on est cloué au lit

    J’ai eu l’idée de cette recette dimanche dernier, alors que j’étais au fond du lit, avec 40 °C de fièvre, un mal de crâne insupportable et des douleurs dans toutes les articulations.

    En général dans ces moments-là, je prends un bon bain chaud et j’assaisonne tous mes plats avec des kilos d’oignons et d’ail frais (pour le plus grand malheur de ma femme).

    Mais là, je sentais que ça ne suffirait pas. Je voulais être sûr de pouvoir m’asseoir à mon bureau le lendemain matin et travailler sur ma prochaine lettre PureSanté.

    J’ai donc mis au point une boisson spéciale « anti-infections » pour les situations extrêmes.

    Et comme elle a très bien fonctionné sur moi, j’ai décidé de partager ma recette avec vous.

    Car l’hiver touche peut-être à sa fin, mais ce n’est pas le moment de baisser la garde. J’ai l’impression que les virus lancent leurs dernières forces dans la bataille, avant le retour des beaux jours.

    Ma recette de bombe artisanale (contre les infections)

    Quand je vous aurai révélé la liste complète des ingrédients, vous allez comprendre pourquoi cette boisson est aussi puissante contre les microbes.

    C’est bien simple, elle réunit à elle seule la plupart des meilleurs aliments pour booster le système immunitaire et lutter contre les infections.

    Pour réaliser votre bombe immunitaire, vous aurez besoin de :

    • Gingembre : il aide les globules blancs à parvenir plus rapidement aux les microbes en stimulant la circulation sanguine et la vasodilatation périphérique. Il renforce ainsi votre immunité contre les attaques bactériennes ou virales (rhume, bronchite, angine, toux, grippe[1]).
    • Miel : il est connu pour être un puissant anti-infectieux[2]. Selon certaines études, le miel agirait même contre les bactéries résistantes aux antibiotiques, comme le staphylocoque doré[3].
    • Curcuma : le curcuma a fait l’objet de centaines d’études pour ses effets sur la santé. Il limiterait par exemple l’effondrement du système immunitaire durant les traitements contre le cancer (chimiothérapie, radiothérapie…)[4].
    • Cannelle : la cannelle (notamment sous forme d’huile essentielle), possède une forte activité antibactérienne qui agirait sur 98 % des germes. Elle augmente la réponse immunitaire aux agressions et peut aider à combattre les infections ORL[5].
    • Citron : il stimulerait le système immunitaire (grâce à la vitamine C qu’il contient) et aurait de fortes propriétés antivirales.
    • Thym : puissant antiseptique et anti-infectieux, c’est le premier remède à prendre en cas d’infection respiratoire, mal de gorge, rhume ou angine. Son utilité thérapeutique est d’ailleurs attestée en Allemagne par la prestigieuse Commission E.
    • Romarin : antiseptique naturel, le romarin est capable d’inhiber la croissance de plusieurs souches bactériennes. Il contient de l’acide rosmarinique et carnosique aux propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires et anti-infectieuses bien utiles en cas d’atteinte infectieuse de la sphère ORL.

    Vous l’aurez compris : avec une composition pareille, cette bombe immunitaire risque de faire très mal aux virus qui vous attaquent.

    Tous ces remèdes réunis dans une seule boisson

    Pour réaliser ma bombe artisanale anti-infection, munissez-vous des ingrédients ci-dessus, et suivez attentivement la marche à suivre suivante :

    • Commencez par infuser pendant 10 minutes deux cuillerées de feuilles séchées de thym et de romarin dans une grande tasse d’eau bouillante.
    • Ajoutez une cuillerée de miel, et versez le mélange dans une bouteille ou une gourde (de préférence en verre).
    • Pendant que l’infusion refroidit, râpez le plus finement possible un gros morceau de gingembre frais (environ de la taille de votre pouce), si son goût piquant ne vous dérange pas. Si vous préférez, vous pouvez aussi le passer au mixer.
    • Ajoutez le gingembre dans la bouteille, saupoudrez généreusement votre boisson de cannelle et de curcuma moulus.
    • Ajoutez un citron pressé une fois que le mélange a bien refroidi (la vitamine C est sensible à la chaleur). Complétez avec de l’eau fraîche si besoin.

    N’oubliez pas de bien agiter avant de servir.

    Et voilà, vous n’avez plus qu’à déguster.

    Attention, sensations fortes garanties !

    Au début, on peut être un peu surpris par le goût prononcé du gingembre et du curcuma. Mais on s’habitue rapidement et vous verrez que ça va vite devenir un plaisir d’en boire.

    Voici mon astuce pour en profiter tout au long de la journée : à chaque fois que vous vous versez un verre, rajoutez de l’eau dans votre bouteille pour qu’elle reste toujours pleine.

    Le mélange sera de plus en plus dilué, mais je peux vous assurer que ça reste délicieux.

     


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  • Ce n’est pas un hasard si les sorcières de dessins animés sont souvent représentées avec une grosse verrue sur le nez.

    La verrue est disgracieuse, gênante, exaspérante.

    Pas étonnant que les traitements conventionnels pour s’en débarrasser ne fassent pas dans le détail. Face aux verrues, les dermatologues déploient l’artillerie lourde : acide trichloroacétique, nitrate d’argent, découpage au laser, brûlage à l’azote liquide à -196°C (cryothérapie)[1].

    Seulement il y a un problème : très souvent, la verrue repousse. Plus grosse et plus moche qu’elle n’était avant le traitement.

    Énervant, non ?

    Bien sûr… Mais même si cela peut vous surprendre, j’aimerais aussi vous proposer un autre regard sur la verrue, fait d’intérêt, de considération, et je dirais même d’une certaine forme de… respect.

    Là, vous allez me demander des explications. Normal. Alors les voici.

    Vive la santé naturelle !

    Je me souviens d’un petit garçon qui avait une verrue très importante sur l’intérieur du pouce.

    Aucun traitement ne réussit jamais à l’éliminer. Un peu par hasard, son père l’emmena alors chez un « rebouteux » de l’ouest, un magnétiseur – boulanger de profession ! – qui se contenta de toucher la verrue de l’enfant et de lui dire « ça partira dans 15 jours ».

    15 jours plus tard la verrue avait complètement disparu ; elle ne réapparut jamais.

    Voilà où je voulais en venir : aussi moche soit-elle, la verrue nous rappelle à quel point les mystères de la science et de la santé sont infinis, à quel point les frontières entre le corps et l’esprit, entre les remèdes traditionnels et les techniques de pointe de la médecine sont loin d’être aussi évidentes qu’on veut bien nous le dire.

    Les verrues sont aussi l’une des illustrations les plus étonnantes que la santé naturelle dispose d’un catalogue immense de solutions efficaces.

    Je vais vous en proposer quelques-unes, mais je vous invite bien sûr à ajouter les vôtres en commentaire de ce message.

    Ces remèdes pourront vous paraître simplets par rapport au « laser à colorant pulsé ». La plupart sont en réalité bien plus puissants qu’on ne l’imagine. C’est pourquoi il est important d’appliquer les préparations sur la verrue elle-même en évitant de toucher la peau autour. Cela peut provoquer irritations, démangeaisons, brûlures, etc.

    Aubergine

    Découpez un petit morceau de chair fraîche de l’aubergine, fixez-le avec un sparadrap le soir avant d’aller vous coucher et… ne vous étonnez pas s’il a un peu noirci le lendemain.

     

    Recommencez chaque soir, jusqu’à ce que la verrue se détache.

    Une autre solution est de détacher le petit chapeau vert de l’aubergine et, en le tenant par la tige, de frotter la verrue pendant 1 à 2 minutes, 4 jours d’affilée.

    Ail/oignon/poireau

    • Cataplasme d’ail: coupez de l’ail en très petits morceaux. Mettre les morceaux dans un pansement pour maintenir le cataplasme. Renouveler l’opération tous les jours jusqu’à disparition de la verrue. Attention à ne pas laisser l’ail déborder de la surface de la verrue pour ne pas risquer de vous brûler la peau.
    • Le cataplasme de poireau se prépare à l’avance : laissez macérer une feuille verte de poireau pendant 4 jours dans du vinaigre de cidre.Appliquez ensuite cette feuille directement sur la verrue, le soir en vous couchant, et gardez-la toute la nuit. Le lendemain matin, remettez la feuille dans le vinaigre, et ainsi de suite pendant 8 nuits.Lorsque la verrue se détache, grattez pour l’enlever, et placez sur l’endroit une feuille de chou qui aidera à cicatriser.
    • Cataplasme d’oignon
      Coupez un oignon en deux et recouvrez-le d’un demi-verre de vinaigre. Laissez macérer 2 à 3 heures. Appliquez l’oignon sur la verrue et maintenez à l’aide d’un bandage. Gardez le cataplasme pendant la nuit, autant de nuits que nécessaire jusqu’à la disparition de la verrue.

    L’aloe vera

    La verrue étant un agglomérat de cellules cutanées, une bonne façon de s’en débarrasser consiste à utiliser des molécules qui décollent et éliminent la couche de kératine de la peau. On parle de molécules kératolytiques.

    Ces particules n’anéantissent pas directement le papillomavirus responsable de la verrue, mais plutôt les cellules cutanées dans lesquelles il loge. Privé d’endroit où se régénérer, le virus est du même coup privé de toute chance de survie.

    Le gel d’aloe vera, riche en acide salicylique, contient justement ces précieuses molécules kératolytiques. Il est très facile de se procurer du bon gel d’aloe vera dans un magasin bio, mais si vous aimez les travaux pratiques, vous pouvez aussi le fabriquer vous-même.

    Il suffit de couper en deux une feuille d’aloe vera. À l’aide de ciseaux ou d’une pince, retirez les épines pour ne pas vous faire mal. Tranchez la feuille en deux dans son épaisseur et grattez l’intérieur pour récupérer toute la pulpe, transparente et gélatineuse, que vous appliquerez directement sur la verrue. Renouvelez l’opération jusqu’à l’élimination de la tumeur cutanée.

    Chélidoine

    Parmi ses mille identités ou surnoms, grande éclaire, herbe aux boucs, herbe de l’hirondelle, herbe de sainte Claire, etc. la chélidoine est surtout connue pour être « l’herbe aux verrues ».

    Ses effets s’expliqueraient par un alcaloïde contenu dans l’herbe, la coptisine. Cette molécule a la propriété de s’opposer à la multiplication cellulaire et contribuerait donc à empêcher le virus de se répliquer.

    En analysant l’action de la chélidoine sur des rats, des chercheurs sud-coréens ont démontré que la plante réduisait fortement les symptômes de la dermatite atopique (une forme d’eczéma), dont l’inflammation et les démangeaisons[2]. Des effets antiviraux de l’extrait de chélidoine sur l’herpès ont aussi été mis en évidence, ce qui corrobore l’idée traditionnelle qu’elle est efficace pour traiter les troubles de la peau[3].

    François-Joseph Cazin, « l’ancêtre de l’Ecole française de phytothérapie »[4], conseille de faire infuser 15 g de feuilles sèches par litre d’eau durant 10 minutes et de boire 1 tasse de cette infusion avant chaque repas. Il est aussi possible de faire une décoction avec 10 g de racine sèche pendant 3 minutes, puis de laisser encore infuser une dizaine de minutes. On consommera 1 à 2 tasses de ce breuvage toutes les 24 heures.

    Autre solution, hacher finement les racines de la plante, puis les mettre à macérer dans du vinaigre de cidre pendant 10 jours. La préparation ainsi obtenue (qui se conserve au frais) doit être appliquée 3 fois par jour sur la verrue avec un pinceau. On laisse ensuite sécher. Répéter l’opération le temps que la verrue disparaisse.

    Le citron

    Récupérez l’écorce d’un citron bio[5] que vous hacherez avant de la laisser macérer 2 jours dans du vinaigre blanc.

    Avant d’aller vous coucher, déposez un ou deux morceaux d’écorce macérée sur la verrue jusqu’à la recouvrir complètement. Utilisez un bandage ou du sparadrap pour maintenir l’écorce en place durant toute la nuit. Au réveil, après avoir retiré le pansement, il est conseillé de laver et de sécher la verrue.

    La teinture-mère de thuya

    La teinture-mère de thuya s’obtient par macération de rameaux d’un arbre célèbre au Canada : le Thuya occidentalis.

    Imbibez un peu de coton de teinture-mère de thuya. Appliquez le coton sur la verrue et faites vous un pansement pour maintenir le coton.

    Ce traitement est particulièrement efficace en synergie avec celui du citron. Avec un pansement de citron la nuit et de thuya le jour, à recommencer quotidiennement, votre verrue a peu de chance de survivre plus de quelques jours.

    La pomme de terre

    Ici, les preuves scientifiques manquent, mais ce remède utilisé depuis des siècles a fait disparaître un nombre incalculable de verrues.

    Il suffit de couper un petit morceau de pomme de terre crue, de la taille de la verrue. Chaque jour, on appliquera ce morceau de pomme de terre directement sur la verrue pendant quelques minutes, matin et soir.

    Prenez soin de changer de morceau à chaque application. Vous pouvez également fixer le morceau de pomme de terre à l’aide d’un bandage pour l’appliquer contre la verrue pendant la nuit.

    Les fluides corporels

    Il existe aussi une longue tradition d’utilisation des fluides corporels pour lutter contre les verrues ; certaines personnes utilisent ainsi leur salive du matin, d’autres leur sang ou encore leur urine. Si l’acidité de l’urine et le pH de la salive peuvent agir en interaction avec la verrue, la plupart du temps ces traitements s’appliquent à la façon des rebouteux, sans qu’il y ait véritablement de démarches scientifiques derrière ces gestes.

    Ce qui nous conduit à un autre remède, peut-être le plus efficace de tous…

    La tête (un mental d’acier)

    Certains dermatologues conseillent par exemple aux enfants de dessiner leurs verrues sur un papier avant de jeter ce dessin à la poubelle. Et devinez quoi ? Il arrive régulièrement que les verrues disparaissent peu après.

    Et ce qui marche chez les enfants marche aussi chez les adultes. Certains croyants affirment ainsi avoir été guéris de verrues sur les mains après les avoir trempées dans un bénitier ou encore dans un ruisseau le jour de Pâques.

    D’autres personnes disent que leur verrue a été terrassée par… une limace ! Le remède consiste simplement à appliquer une limace sur la verrue et à la laisser passer dessus avant de la redéposer dans la nature. Généralement, la verrue disparaît au bout de quelques semaines. Pourquoi ? Peut-être parce que le célèbre effet placebo est d’autant plus puissant que le (faux) remède frappe votre imagination[6].

    Cela n’a rien à voir avec les verrues, mais regardez plutôt les « remèdes » que l’on trouvait dans une pharmacie officielle en 1607[7] : cervelle de passereau, tête de lézard, yeux d’écrevisse, fiente d’oie, de cigogne, de lézard etc. Plus c’est spectaculaire, plus l’effet placebo est efficace[8] !

    Sources : ICI

     

     


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