• Les verrues sont causées par le virus du papillomavirus humain (HPV), et il existe plus de 60 variétés de celui-ci.

    Vous attrapez une verrue en entrant en contact avec le virus par rencontre directe avec la peau. Vous pouvez attraper le virus d’une autre personne par une poignée de main par exemple, et vous pouvez aussi vous le donner à vous même si vous avez déjà une verrue.

    Le virus de la verrue peut se transmettre à d’autres parties du corps par le grattage, le toucher, le rasage ou même lorsque vous vous rongez les ongles.

    Tout ce qu’il faut, c’est une toute petite faille dans la peau pour que le virus puisse passer.

    Différents types de verrues affectent les gens et de différentes manières, généralement en fonction de la force de leur système immunitaire.

    Certaines souches (comme celle qui cause les verrues communes) sont relativement inoffensives, tandis que d’autres peuvent poser des problèmes beaucoup plus graves. Parce que les verrues sont causées par un virus, elles peuvent se propager à d’autres parties de votre corps et à d’autres personnes également.

    Si les méthodes traditionnelles n’ont pas marché pour vous (ou vous préférez éviter les traitements impliquant des produits chimiques étranges) n’hésitez pas à essayer les traitements naturels et les remèdes maison pour vous débarrasser de ce problème disgracieux.

    Si vous avez une verrue, cela signifie que le HPV a déjà envahi une petite faille dans votre peau.

    Le HPV est un terme générique pour de nombreuses souches de virus qui peuvent apparaître sur tout le corps.

    Certains types de verrues se forment seules, d’autres fois en grappes. En règle générale, la verrue apparaît comme une excroissance de la peau avec une surface rugueuse.

    Il existe différents traitements conventionnels pour traiter les verrues plantaires. Certains consistent à geler, d’autres à brûler la verrue, la raser ou encore la creuser, avec des degrés variables de succès.

    Certains peuvent provoquer des cicatrices tandis que d’autres ne seront pas définitifs et causeront une repousse de la verrue.

    Pour les personnes ne souffrant pas particulièrement de leur verrue, sachez qu’une simple attente pourra aussi s’avérer efficace puisque 65% des verrues disparaissent d’elles-mêmes avec le temps.

    Mais pour ceux et celles qui souhaiteraient se débarrasser de leur verrue rapidement et naturellement, il existe aussi des solutions comme :

    Il existe plusieurs façons de traiter les verrues plantaires sans médicaments.

    La plupart sont une combinaison associant pansement adhésif et acide salicylique, qui permet de faire « fondre » la verrue en éliminant la peau touchée.
    Vous pouvez utiliser alternativement les remèdes pour traiter les cors avec les remèdes contre les verrues, avec la peau de banane, 

    Soigner une virus plantaire

     

     

     

    puisque les deux ont tendance à contenir les mêmes ingrédients qui visent à dissoudre les lésions cutanées et les peaux mortes.

    Il est important de vous assurer que vous coupez des morceaux de pansement de la taille de la verrue, car l’acide va également dissoudre la peau saine autour de la verrue si vous mettez un morceau trop grand.
    Ce remède consiste en l’application de ruban adhésif sur la zone de la verrue pendant environ une semaine à deux semaines.

    Beaucoup de gens ne jurent que par ce traitement, en affirmant qu’il réduit considérablement les verrues.
    Certains suggèrent d’ajouter une boule de coton imbibée de vinaigre de cidre directement sur ??la verrue pour accélérer le processus de guérison.

    Si le ruban adhésif se décolle, vous devez le remplacer rapidement.

    Vous pouvez également tremper la peau dans de l’eau chaude tous les deux jours.
    D’autres suggèrent que l’utilisation d’un patch de peau de banane scotchée à la verrue va aider à vous en débarrasser.

    C’est certes un peu difficile à réaliser la journée, puisque personne n’a envie d’avoir un morceau de peau de banane dans la chaussure, mais vous pouvez toujours essayer en appliquant cela la nuit pendant que vous dormez.
    D’autres ingrédients naturels et remèdes maisons existent avec une efficacité plus ou moins forte selon les produits, mais cela ne coûte rien d’essayer. En voici quelques uns :

    Le vinaigre de cidre


    Soigner une virus plantaire

    Le vinaigre de cidre est très connu dans le monde des remèdes maison, il n’est donc pas étonnant qu’il soit le premier sur la liste des moyens naturels pour se débarrasser des verrues.
    Le vinaigre de cidre ne tue pas le virus, mais avec son acidité élevée, il s’attaque à l’excroissance et permet de la dissoudre rapidement.
    En théorie, c’est un moyen efficace qui n’entraîne pas de récidive. Attendez vous à une petite douleur  au début, c’est tout à fait normal mais bien sûr si elle est trop importante, arrêtez le traitement.
    Après quelques jours, votre verrue va s’assombrir et se détacher, c’est signe que la guérison est proche.
    Pour réaliser ce remède maison, vous aurez besoin de 2 cuillères à soupe de vinaigre de cidre, des boules de coton et un pansement, gaze ou un autre morceau de tissu.
    Trempez une boule de coton ou un morceau de tissu dans le vinaigre de cidre et placez-le sur votre verrue. Essayez de le laisser le plus longtemps possible la journée et le soir, et répétez cela pendant une à deux semaines, c’est généralement la durée nécessaire pour en venir à bout.

    Le basilic

    Soigner une virus plantaire

     

    Parce que le basilic a une multitude de composants anti-viraux, et que l’origine de la verrue est un virus, il permettra d’accélérer le processus de guérison.
    Pour utiliser le basilic contres les verrues, prenez 1/4 de tasse de basilic frais et écrasez les feuilles de basilic jusqu’à ce qu’elles soient molles.

    Appliquez sur la verrue et couvrez avec un pansement ou un linge propre, et renouvelez l’opération tous les jours jusqu’à ce que la verrue soit partie (environ 1 à 2 semaines).

    La pomme de terre

     

    Un autre remède bien connu contre les verrues consiste à y appliquer de la pomme  de terre crue. Il n’y a pas beaucoup de fondement scientifique à cette théorie, mais au fil des siècles, les gens ont appliqué cette méthode, et beaucoup considèrent que cela fonctionne.
    Pour ce faire, il faut éplucher une pomme de terre et en couper une tranche ronde. Frottez la tranche sur votre verrue 3 fois par jour, chaque fois avec un nouveau morceau, et le soir fixer un morceau de pomme de terre sur la verrue avec un bandage ou un linge propre pour la nuit. 


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  • Rhumes, maux de gorge, sinusites, aphonies ou extinctions de voix…

    C'est le moment de protéger vos bronches!

    Ces problèmes saisonniers pourraient dégénérer en bronchite aiguë ou chronique, en bronchiolite chez le plus jeune, voire en asthme avec sa composante allergique.

    Agissez vite pour éviter les récidives et les complications!

    Qu’est-ce qui se passe là-dedans? »

    C’est grâce au système respiratoire que le sang oxygéné peut parvenir jusqu’à nos cellules.

    Sans lui, impossible pour elles de remplir leurs fonctions vitales. L’oxygène, inspiré par la bouche et le nez, passe ainsi par le larynx et la trachée pour arriver jusqu’aux bronches, bronchioles et enfin alvéoles pulmonaires où se font les échanges gazeux avec le sang.

    Comme le facteur qui distribue le courrier à tous les habitants, le sang se charge d’apporter l’oxygène à toutes nos cellules.

    Mais le sang cumule les tâches. Non seulement il apporte l’oxygène, mais en plus il débarrasse chaque cellule de ses déchets, dont le dioxyde de carbone, ramené aux poumons en vue d’être expiré.

    La qualité de l’air est très importante! Seulement, en même temps que l’oxygène, les polluants – tabac, monoxyde de carbone, oxyde d’azote, gaz d’échappement, peintures, colles, solvants, sans oublier les nanoparticules ou encore l’amiante – pénètrent eux aussi dans les poumons via le nez et la bouche et altèrent notre organisme.

    Notre système respiratoire est donc sensible aux irritations et aux infections transmises par l’air. Surchargé de toxines, il s’expose à des problèmes respiratoires. Un drainage peut alors devenir nécessaire pour améliorer les traitements.

    Quand c’est dur de respirer 

    La bronchite est une inflammation des bronches. Pour les 10 millions de personnes en moyenne qui la contractent chaque année en France, son origine est le plus souvent virale, mais elle peut aussi être bactérienne.

    Il ne faut pas la laisser traîner !

    Une prise en charge rapide aide à prévenir tout risque de surinfection comme les bronchites asthmatiformes ou, la plus rare – mais plus grave aussi –, la BPCO (broncho-pneumopathie chronique obstructive) qui tient à la fois de l’emphysème1 pulmonaire et de la bronchite chronique.

    La durée d’incubation varie de quelques jours en cas d’infection virale à plusieurs semaines en cas d’infection bactérienne.

    Aiguë ou chronique? Telle est la question La bronchite aiguë est souvent la conséquence d’une grippe ou d’un rhume.

    Elle survient brusquement et dure en général quelques jours, en l’absence de complications.

    Les symptômes communs sont la toux sèche qui évolue en toux grasse, avec parfois une surinfection bactérienne, le mucus devenant plutôt visqueux.

    Parfois encore, une légère fièvre accompagne les premiers symptômes avec une voix rauque, des maux de tête et de gorge.

    Quand la fièvre ou les douleurs thoraciques sont violentes, il vaut mieux consulter un médecin car la bronchite peut évoluer en pneumonie.

    La bronchite chronique est souvent provoquée par le tabagisme et la pollution de l’air, mais aussi par des agents chimiques pour ceux qui travaillent sur des chantiers ou dans des industries polluées.

    Selon l’OMS, on parle de bronchite chronique si les symptômes sont présents pendant au moins 3 mois par an sur 2 années consécutives ou plus, accompagnés d’un essoufflement et parfois de crises d’asthme.

    La toux s’accompagne d’expectorations qui obstruent le passage de l’air. Quoique rare, c’est ici que l’emphysème est à craindre.

    Si vous souffrez d’asthme ou de BPCO, votre pneumologue vous prescrira des aérosols pour réduire l’inflammation et l’occlusion bronchique.

    Attention : selon les statistiques, 50 % des bronchites chroniques conduisent à une insuffisance respiratoire !

    Quintes de toux: ne pas stopper systématiquement!

    Les quintes de toux, c’est épuisant! On ferait tout pour que ça s’arrête…

    Pourtant, la toux n’est autre qu’un réflexe de défense de l’organisme cherchant à expulser les substances irritantes des voies respiratoires.

    Un réflexe plutôt sain! Mais gênant au quotidien, il faut bien l’admettre.

    Trois types de plaintes se font souvent entendre :  

    « Ma toux est sèche et m’irrite » La toux sèche ne produit aucune sécrétion.

    Elle est la première étape et s’accompagne d’une irritation qui va provoquer une toux grasse après quelques jours.

    Elle peut accompagner un rhume, une trachéite ou une sinusite. Que faut-il faire ?

    Boire toute la journée des tisanes chaudes, à base de thym et de fleurs de mauve, qui adoucit les irritations, additionnées de miel d’acacia.

    Faites une infusion à parts égales de sommités fleuries de thym et de fleurs de mauve à 2 %, soit 20 g dans un litre d’eau, à conserver dans un thermos et boire toute la journée.

    La tisane a aussi un rôle de drainage indispensable.

     « Ma toux me fait cracher, elle est grasse »

    On parle aussi de toux « productive »,

    c’est un mécanisme naturel de défense des bronches irritées qui cherchent à expulser les sécrétions.

    Mieux vaut ne rien prendre que de chercher à la stopper.

    Le mucus et les sécrétions des bronches ou du nez y cherchent à s’évacuer avec la toux. Il est même préférable de l’aider à les évacuer avec des plantes ou sirops fluidifiants, même ceux à base de molécules soufrées proposés par l’allopathie. Une plante intéressante est le pélargonium (Pelargonium sidoïdes).

    On la trouve facilement, aussi bien sous forme de teinture que de sirop ou de gélules. Elle est idéale contre les toux grasses en synergie avec l’huile essentielle de myrte commun (Myrtus communis) à cineole qui a des propriétés expectorantes intéressantes.

    Pour les adultes, prendre 1 cuillerée à soupe de sirop de perlargonium, mélangée avec 2 gouttes d’huile essentielle de myrte.

    Le Pelargonium sidoïdes, originaire des régions côtières d’Afrique du Sud, est une espèce endémique pour cette région du monde.

    Ses feuilles en forme de cœur sont abondantes et ressemblent à celles du géranium.

    Ses fleurs sont rouge sombre mais ce sont les organes souterrains qui contiennent les molécules actives, des coumarines et des polyphénols.

    La plante est recommandée dans les infections respiratoires, empêchant la fixation de nombreuses bactéries et virus au niveau de la muqueuse.

    Les essais cliniques montrent l’efficacité des extraits de Pelargonium sidoïdes sur la bronchite aiguë avec une nette amélioration des symptômes sans aucun effet secondaire !

    Concernant le myrte commun, il s’agit d’un arbuste répandu sur tout le littoral méditerranéen.

    On le reconaît Thym Mauve Miel d'acacia à son écorce rousse, ses feuilles persistantes et coriaces, 3 ses fleurs blanches d’odeur fine et puissante.

    La plante possède un intérêt thérapeutique certain : elle est anticatarrhale 2, expectorante, décongestionnante et anti-infectieuse.

    Utilisez son huile essentielle en massage sur la poitrine et le dos 3 fois par jour, mélangée à 10 % dans de l’huile végétale de noisette pour en faciliter la pénétration à travers la peau.

    Faites cela jusqu’à amélioration, mais pas au delà d’une semaine. Vous pouvez aussi en prendre 1 goutte 3 fois par jour mélangée à du miel d’acacia, à sucer lentement, pendant 8 jours.

    Attention, l’huile essentielle de myrte stimule la thyroïde et doit donc être utilisée avec précaution si vous avez un traitement de Lévothyrox par exemple.

    « Ma toux m’empêche de dormir : pas de répit, même la nuit! »

    C’est une toux réflexe qui accompagne parfois des affections virales mais peut également être due à des reflux.

    En effet, un estomac trop acide peut entretenir ce type de toux.

    Il est fortement conseillé d’éviter les aliments acides, l’alcool, le tabac et les eaux gazeuses.

    Il faut surtout augmenter le temps de mastication qui permettra de limiter le reflux.

    Le soir, évitez donc les crèmes, les compotes et les potages, auxquels vous préférerez des légumes en morceaux, y compris dans la soupe. Cette toux peut aussi être un signe d’allergie.

    Attention notamment à l’allergie aux huiles essentielles.

    Pour vérifier, mettez 1 goutte au pli du coude et attendez 2 minutes pour vérifier la réaction.

    Il faut alors installer un humidificateur, surélever la tête ou, mieux, proposer des suppositoires aux huiles essentielles à faire préparer par une pharmacie (dans ce cas, la prescription médicale est souhaitée).

    On peut aussi préconiser 1 goutte d’huile essentielle de thym à linalol (Thymus vulgaris) et 1 goutte d’huile essentielle d’eucalyptus (Eucalyptus globulus) dans 1 cuillerée à soupe de sirop de pélargonium par exemple, ou de miel d’acacia, 3 fois par jour pendant 8 jours maximum.

    Originaire d’Australie et de Tasmanie, l’eucalyptus est aujourd’hui très répandu. Sa feuille qui change de forme selon son âge est très utilisée pour ses propriétés assainissantes des voies respiratoires.

    Grâce à son avidité pour l’eau et à la longueur de ses racines, l’eucalyptus assainit les terrains marécageux et, par là même, les gîtes à moustiques.

    Les anciens l’utilisaient déjà pour assainir les voies respiratoires, tandis qu’en Australie les Aborigènes exploitaient les feuilles fraîches pour panser les plaies.

    Cet arbre de la famille des myrtacées possède des propriétés anti-infectieuses et antitussives grâce à ses feuilles desquelles on extrait l’huile essentielle d’Eucalyptus globulus CT 1,8 cinéole (molécule appelée aussi eucalyptol), active sur la bronchite aiguë (et les bronchites chroniques après accord du pneumologue).

    L’huile essentielle est réservée à l’adulte et l’enfant de plus de 12 ans.

    Elle doit être utilisée avec précaution chez l’asthmatique. Chez l’enfant plus jeune, à partir de 3 ans, on préférera l’huile essentielle d’eucalyptus radiata, beaucoup plus douce et sans danger. Remarque: évitez les sirops 2 en 1 qui associent un antitussif et un expectorant ; ils sont fortement déconseillés ! 

    En friction on mélangera l’huile essentielle d’eucalyptus (globulus ou radiata) avec de l’huile essentielle de ravintsara (Cinnamomum camphora), antiviral particulièrement efficace dans un gel d’Aloe vera. Pour 2 gouttes d’huile essentielle, utilisez une noisette d’Aloe vera, ce qui vous donnera une concentration à 20 %.

    Surtout n'oubliez pas !

    1. Veillez à humidifier l’air. En addition, vous pouvez utiliser les huiles essentielles comme le ravintsara ou la lavande vraie, si vous n’êtes pas allergique.

    2. Mettez devant le nez et la bouche un masque imprégné de ces mêmes huiles essentielles, sauf si vous prenez des médicaments homéopathiques. Auquel cas, attendez au moins une heure.

    3. Évitez la fumée des cigarettes, y compris celle des autres!

    4. Aérez régulièrement: l’intérieur des habitations est souvent plus pollué que l’extérieur!

    5. Pensez à vous hydrater régulièrement, de préférence avec des tisanes.

    6. Quand la bronchite a du mal à céder aux traitements en cours, pensez à prendre des draineurs qui facilitent l’expectoration, avec des plantes agissant sur le foie, le rein et la peau comme la bardane, le radis noir ou la piloselle.

    7. Mouchez-vous soigneusement avec des mouchoirs à usage unique et lavez-vous les fosses nasales avec du sérum physiologique dans lequel vous ajouterez une ampoule d’argent ou de cuivre en oligoélément diluée à 10 %.

    Pour les jeunes enfants, utilisez un mouche-bébé avant de les allonger tête tournée sur un côté, pour injecter le liquide dans la narine la plus haute, par petites pressions de 5 ml par narine.

    Le liquide ressortira par l’autre narine et vous répéterez ce geste de l’autre côté. Il faudra les moucher très lentement pour éviter le risque d’otite par propulsion de liquide dans les trompes d’Eustache.

    8. Pensez aussi aux oligoéléments pendant la période hivernale:

    • Prenez 2 fois par semaine pendant 3 mois 1 ampoule de Mn-Cu (manganèse-cuivre) à laisser sous la langue (par voie sublinguale) 2 minutes avant d’avaler.

    • En cas de fièvre, prenez 1 ampoule de cuivre à placer sous la langue chaque matin pendant 1 semaine.

    Le cuivre a une action anti-inflammatoire et anti-infectieuse.

    9. N’hésitez à laver votre nez avec du sérum physiologique si vous êtes en contact avec des personnes grippées ou enrhumées.

    C’est un bon moyen de se protéger des microbes environnants! Vous pouvez aussi respirer de l’huile essentielle de ravintsara.

    10. Et surtout, reposez-vous, le sommeil et le repos favorisent la guérison !

    Les plantes contre la bronchite aïgue »

    En tisane ou en gélules, de nombreuses plantes peuvent être utilisées pour soigner une bronchite aiguë.

    Voici mes préférées :

    • Le bouillon blanc, expectorant remarquable, préparé en infusion (attention à bien filtrer!);

    • les bourgeons de pin, que l’on trouve en sirop ou pastilles à sucer;

    • l’eucalyptus, en tisane, sirop ou huile essentielle ;

    • la fleur de coquelicot en tisane et pastilles à sucer, active sur les toux sèches de l’enfant;

    • la racine de guimauve en tisane ; la mauve en sirop ou pastilles adoucissantes pour les toux sèches;

    • les bourgeons de sapin en tisane ou sirop, ou le sureau pour son action drainante et anti-inflammatoire ;

    • et surtout le thym, plante majeure à action antiseptique, que l’on trouve en tisane ou en huile essentielle et sous des structures biochimiques différentes.

    Recette de la tisane antibronchite Infusé composé: • Thym (sommités fleuries)..................................... 20 g • Mauve (fleurs) ........................................................ 20 g • Pin (bourgeons)..................................................... 25 g • Coquelicot (pétales) ............................................. 15 g • Bouillon blanc (feuilles et fleurs)......................... 20 g Posologie: 20 à 30 g du mélange par litre d’eau.

    Infuser 15 minutes.

    Boire 4 à 5 tasses par jour. Dès les premiers symptômes, vous pouvez vous pré- parer une autre infusion à 2 % de fleurs de sureau ou de sommités fleuries de thym.

    Pour cela, versez sur 20 g de plantes 1 litre d’eau bouillante, laissez infuser 10 minutes à couvert puis ajoutez le jus de ½ citron et 1 cuillerée à café de miel liquide.

    À boire dans la journée.

    Remarque: la tisane de 1 litre une fois préparée peut être conservée tiède dans un thermos pour être bue dans la journée; autrement vous devez la conserver au réfrigérateur sans la réchauffer pour éviter tout développement microbien.

    D'autres informations viendrons s'ajouter quand mon imprimante voudra bien me les scanner, alors s v p, revenez visiter cette article de temps à autre, merci ☺

     

     

     

     

     


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  • UNE PLANTE 10 000 FOIS PLUS PUISSANTE QUE LA CHIMIOTHERAPIE

    Le fruit ‘’Graviola’ vient des profondeurs de la forêt amazonienne.

    Des recherches en laboratoire ont montré que des extraits de cette plante miraculeuse peut lutter contre le cancer avec un traitement entièrement naturel qui ne provoque ni nausées, ni perte de poids et ni perte de cheveux, de protéger le système immunitaire et d'éviter les infections mortelles, les personnes se sentent plus forts et plus sains tout au long du traitement, plus d'énergie et améliore la vision de la vie.

    Graviola est un petit arbre typique des régions tropicales chaudes caractérisées par de grandes feuilles vertes et des fruits comestibles jaune-vert, vendus sur les marchés d'Amérique du Sud sous le nom de Guanabana et utilisé dans la préparation de certaines boissons.

    Les résultats des recherches ont permis d'identifier les ingrédients actifs spécifiques appelées Annonaceae acétogénines, les protagonistes des propriétés biologiques de cette plante.

    Cette plante a de nombreux avantages anti-cancer.

    C'est également un agent antimicrobien, contre les infections, les infections bactériennes et fongiques, abaisse la pression artérielle, il est utilisé pour les troubles de la dépression, le stress et nervosité.

    Depuis 1976, Graviola s'est avéré être un tueur de cancer extrêmement puissant dans 20 tests de laboratoires indépendants. Une étude publiée dans le Journal of Natural Products, suite à une enquête similaire menée par l'Université catholique de Corée du Sud a révélé que Graviola peut tuer sélectivement les cellules cancéreuses du côlon avec une capacité supérieure à 10.000 médicaments de chimiothérapie, couramment utilisé comme l'Adriamycine.

    Le rapport de l'Université catholique de Corée du Sud a déclaré que Graviola pouvait cibler sélectivement les cellules cancéreuses, laissant intactes les cellules saines, contrairement à la chimiothérapie, qui visent indistinctement toutes les cellules qui se reproduisent activement et provoquent des effets secondaires souvent dévastateurs, des nausées et perte de cheveux chez les patients cancéreux.

    Une étude menée à l'Université de Purdue à Lafayette (États-Unis) a récemment découvert que les feuilles de l'arbre Graviola tuent les cellules cancéreuses chez six lignées cellulaires humaines et sont particulièrement efficaces contre les cancers de la prostate, du pancréas et du poumon.

    Le corossol (son nom en anglais), connu en Italie comme le fruit de Graviola est donc un remède miracle (et naturel) pour éradiquer les cellules cancéreuses, 10.000 fois plus puissant que la chimiothérapie.

    Les tests de laboratoire effectués depuis 1970 ont montré son efficacité, et tuer les cellules malignes dans 12 types de cancer, y compris le côlon, du sein, de la prostate, du poumon et du pancréas, et est jusqu'à 10.000 fois plus forte en ralentissant la croissance des cellules cancéreuses par rapport à «l'Adriamycine, un médicament de chimiothérapie couramment utilisé dans le traitement du cancer.

    Le National Cancer Institute a effectué la première recherche scientifique en 1976. Les résultats ont montré que les feuilles et les tiges de Graviola se sont révélées efficaces pour attaquer et détruire les cellules malignes.

    Pour la petite histoire : "L’inspection générale des Douanes à Mostaganem, dans le cadre de ses aides aux malades atteints du cancer a offert, une quantité de 85 kilogrammes de fruit ‘’Graviola’’, un fruit miraculeux (10.000 fois plus puissant que la chimiothérapie), connu mondialement et qui peut lutter contre le cancer.

    Cette quantité saisie par les Douanes au port de Mostaganem a été remis à l’Association des cancéreux de Mostaganem ‘’ Errahma’’.

    A votre santé smile

    UNE PLANTE 10 000 FOIS PLUS PUISSANTE QUE LA CHIMIOTHERAPIE

     


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